Une petite fille d’un an et demi a été agressée sexuellement par son beau-père, dans le fokontany de Mafitodika, à Nosy Varika, samedi dernier. L’acte a été perpétré pendant que la mère de la victime est allée chercher de l’eau, d’après les informations révélées par le réseau de protection de l’enfant (RPE) de la région Vatovavy. « Le nourrisson a été complètement mis à mal. Elle s’est même cassée le bras gauche », a-t-on rapporté. Des membres du RPE ont cotisé pour acheter des médicaments pour l’enfant. Une famille de bonne volonté à Nosy Varika héberge sa mère et elle. L’ordonnance du médecin indique qu’elle a besoin d’un examen radiologique urgent à Mananjary. « Pour le moment, sa mère et elle ne peuvent toujours pas y aller faute d’argent », a-t-on confié. Une procédure judiciaire a été engagée. La mère a porté plainte auprès de la gendarmerie contre l’auteur du crime. Celui-ci a vite été arrêté et se trouve maintenant en garde-à-vue à la brigade locale. Selon les premiers éléments de son interrogatoire, il est passé aux aveux. Le RPE, la plaignante et le service de population s’en remettent à la Justice qui tranchera sur son sort.
Une petite fille d’un an et demi a été agressée sexuellement par son beau-père, dans le fokontany de Mafitodika, à Nosy Varika, samedi dernier. L’acte a été perpétré pendant que la mère de la victime est allée chercher de l’eau, d’après les informations révélées par le réseau de protection de l’enfant (RPE) de la région Vatovavy. « Le nourrisson a été complètement mis à mal. Elle s’est même cassée le bras gauche », a-t-on rapporté. Des membres du RPE ont cotisé pour acheter des médicaments pour l’enfant. Une famille de bonne volonté à Nosy Varika héberge sa mère et elle. L’ordonnance du médecin indique qu’elle a besoin d’un examen radiologique urgent à Mananjary. « Pour le moment, sa mère et elle ne peuvent toujours pas y aller faute d’argent », a-t-on confié. Une procédure judiciaire a été engagée. La mère a porté plainte auprès de la gendarmerie contre l’auteur du crime. Celui-ci a vite été arrêté et se trouve maintenant en garde-à-vue à la brigade locale. Selon les premiers éléments de son interrogatoire, il est passé aux aveux. Le RPE, la plaignante et le service de population s’en remettent à la Justice qui tranchera sur son sort.