Quatre mois après le début de la contamination dans le pays, la région Ihorombe a enregistré son premier cas mardi, et deux autres cas hier. Les trois personnes testées positives sont issues de la commune rurale d’Andohanilakaka, là où il y a le gisement de saphir. Ce sont des commerçants. Selon Emile Rafanomezantsoanantenaina, directeur régional de la Communication et de la culture d’Ihorombe, les trois personnes suivent actuellement un traitement à l’hôpital de Fandana, à 60 km d’Andohanilakaka. « Le centre opérationnel de gestion de la Covid-19 d’Ihorombe est descendue à Ilakaka pour y rencontrer la Cellule de crise de la commune. Il a été décidé que la région Ihorombe doit se barricader c’est-à-dire que personne n’y entre ni n’en sort. Mais cette décision attend encore la validation du Centre de commandement opérationnel national », explique le directeur régional de la Communication et de la culture. D’autres mesures ont été intensifiées comme le port de cache-bouche obligatoire et l’interdiction de réunion. Environ trois mille cache-bouches ont été distribués jusqu’ici avec l’aide de quelques sociétés. Mais les personnes vulnérables n’ont pas encore reçu une quelconque aide financière. Une faible prestation des barrages sanitaires en revanche est notée, qui s’explique par le peu de moyens dont dispose le personnel médical.
Quatre mois après le début de la contamination dans le pays, la région Ihorombe a enregistré son premier cas mardi, et deux autres cas hier. Les trois personnes testées positives sont issues de la commune rurale d’Andohanilakaka, là où il y a le gisement de saphir. Ce sont des commerçants. Selon Emile Rafanomezantsoanantenaina, directeur régional de la Communication et de la culture d’Ihorombe, les trois personnes suivent actuellement un traitement à l’hôpital de Fandana, à 60 km d’Andohanilakaka. « Le centre opérationnel de gestion de la Covid-19 d’Ihorombe est descendue à Ilakaka pour y rencontrer la Cellule de crise de la commune. Il a été décidé que la région Ihorombe doit se barricader c’est-à-dire que personne n’y entre ni n’en sort. Mais cette décision attend encore la validation du Centre de commandement opérationnel national », explique le directeur régional de la Communication et de la culture. D’autres mesures ont été intensifiées comme le port de cache-bouche obligatoire et l’interdiction de réunion. Environ trois mille cache-bouches ont été distribués jusqu’ici avec l’aide de quelques sociétés. Mais les personnes vulnérables n’ont pas encore reçu une quelconque aide financière. Une faible prestation des barrages sanitaires en revanche est notée, qui s’explique par le peu de moyens dont dispose le personnel médical.