Voilà donc les Barea élevés au rang de Chevalier de l’Ordre National. Un véritable honneur. Aucun d’entre eux n’aurait pensé qu’ils atteindraient un jour un tel niveau, à leurs débuts. « On n’aurait jamais pensé que c’était possible. Si on n’avait pas persévérer dans le football, on ne serait pas là aujourd’hui. C’est une grande fierté, bien sûr. Je n’aurais jamais pensé qu’on serait décoré de cette manière, quand j’étais encore un enfant », s’est exclamé Ibrahim Amada, hier à Iavoloha. Il y a une vingtaine d’années, il débutait à peine dans l’univers footballistique, jouant notamment tous les mercredis après-midis et les samedis matins sur la pelouse de l’Académie Nationale des Sports à Ampefiloha. Aujourd’hui, grâce à ses efforts et à sa persévérance, il est devenu une véritable icône, buteur à la CAN pour la première participation de Madagascar (ndlr : contre la République Démocratique du Congo en huitièmes de finale) quelques mois après avoir été élu meilleur joueur étranger du championnat d’Algérie. Le milieu de terrain du Mouloudia Club d’Alger n’a pas manqué de remercier le Président de la République, bien évidemment : « On ne joue pas pour l’argent. Mais vu que le niveau monte d’un cran, c’est logique d’être récompensé. Si on a obtenu de si bons résultats, c’est aussi grâce à l’implication du Président, que je remercie infiniment. J’espère qu’il en fera autant pour les plus jeunes à l’avenir ». Justement, il faut penser à la relève maintenant, vu les nombreux trentenaires de la sélection. Pour rappel, la Grande île avait la moyenne d’âge la plus élevée à la CAN, soit vingt-huit ans. « À la CAN, on a vu un mélange de jeunes et de joueurs expérimentés. Le résultat a été positif. Mais il faut penser au futur maintenant. Voilà pourquoi, je dis que l’Etat devrait se tourner vers les plus jeunes dorénavant et penser à leur formation », a-t-il conclu.
Voilà donc les Barea élevés au rang de Chevalier de l’Ordre National. Un véritable honneur. Aucun d’entre eux n’aurait pensé qu’ils atteindraient un jour un tel niveau, à leurs débuts. « On n’aurait jamais pensé que c’était possible. Si on n’avait pas persévérer dans le football, on ne serait pas là aujourd’hui. C’est une grande fierté, bien sûr. Je n’aurais jamais pensé qu’on serait décoré de cette manière, quand j’étais encore un enfant », s’est exclamé Ibrahim Amada, hier à Iavoloha. Il y a une vingtaine d’années, il débutait à peine dans l’univers footballistique, jouant notamment tous les mercredis après-midis et les samedis matins sur la pelouse de l’Académie Nationale des Sports à Ampefiloha. Aujourd’hui, grâce à ses efforts et à sa persévérance, il est devenu une véritable icône, buteur à la CAN pour la première participation de Madagascar (ndlr : contre la République Démocratique du Congo en huitièmes de finale) quelques mois après avoir été élu meilleur joueur étranger du championnat d’Algérie. Le milieu de terrain du Mouloudia Club d’Alger n’a pas manqué de remercier le Président de la République, bien évidemment : « On ne joue pas pour l’argent. Mais vu que le niveau monte d’un cran, c’est logique d’être récompensé. Si on a obtenu de si bons résultats, c’est aussi grâce à l’implication du Président, que je remercie infiniment. J’espère qu’il en fera autant pour les plus jeunes à l’avenir ». Justement, il faut penser à la relève maintenant, vu les nombreux trentenaires de la sélection. Pour rappel, la Grande île avait la moyenne d’âge la plus élevée à la CAN, soit vingt-huit ans. « À la CAN, on a vu un mélange de jeunes et de joueurs expérimentés. Le résultat a été positif. Mais il faut penser au futur maintenant. Voilà pourquoi, je dis que l’Etat devrait se tourner vers les plus jeunes dorénavant et penser à leur formation », a-t-il conclu.