Les deux Chambres parlementaires devraient clôturer la session extraordinaire, ce jour. Les discours des présidents des deux institutions pourraient être une nouvelle passe d’arme. Sans issue. La session extraordinaire du Parlement arrive à terme sans que les deux Chambres ne soient parvenues à un accord sur un des trois projets de loi présentés par l’Exécutif. Selon les informations, l’Assemblée nationale procédera à la cérémonie de clôture des douze jours de travaux parlementaires, au cours de cette matinée, sauf changement. Le Sénat devrait lui emboîter le pas dans l’après-midi. Vu la tension au démarrage de la session extraordinaire et de son déroulement, les allocutions de Christine Razanamahasoa, présidente de l’Assemblée nationale et Rivo Rakotovao, président du Sénat, risquent d’être sévères. Dans le même acabit de son discours d’ouverture de la session extraordinaire, le boss de la Chambre basse pourrait, une nouvelle fois, tirer à boulet rouge sur la Chambre haute. Elle avait affirmé que l’institution d’Anosy bloquait certains textes. À l’ordre du jour de cette session extraordinaire figurent trois projets de loi de ratification de neuf ordonnances prises par le Président de la République, l’année passée. Des représentants de la majorité à l’Assemblée nationale ont pesté, jeudi, contre la « motion de rejet », votée par le Sénat à l’encontre du projet de loi de ratification numéro 1. Il est probable, que le discours de Christine Razanamahasoa, garde ce ton.
Les deux Chambres parlementaires devraient clôturer la session extraordinaire, ce jour. Les discours des présidents des deux institutions pourraient être une nouvelle passe d’arme. Sans issue. La session extraordinaire du Parlement arrive à terme sans que les deux Chambres ne soient parvenues à un accord sur un des trois projets de loi présentés par l’Exécutif. Selon les informations, l’Assemblée nationale procédera à la cérémonie de clôture des douze jours de travaux parlementaires, au cours de cette matinée, sauf changement. Le Sénat devrait lui emboîter le pas dans l’après-midi. Vu la tension au démarrage de la session extraordinaire et de son déroulement, les allocutions de Christine Razanamahasoa, présidente de l’Assemblée nationale et Rivo Rakotovao, président du Sénat, risquent d’être sévères. Dans le même acabit de son discours d’ouverture de la session extraordinaire, le boss de la Chambre basse pourrait, une nouvelle fois, tirer à boulet rouge sur la Chambre haute. Elle avait affirmé que l’institution d’Anosy bloquait certains textes. À l’ordre du jour de cette session extraordinaire figurent trois projets de loi de ratification de neuf ordonnances prises par le Président de la République, l’année passée. Des représentants de la majorité à l’Assemblée nationale ont pesté, jeudi, contre la « motion de rejet », votée par le Sénat à l’encontre du projet de loi de ratification numéro 1. Il est probable, que le discours de Christine Razanamahasoa, garde ce ton.