En prévision de possible inflation face aux contextes de pandémie mondiale, l’Etat envisage de renforcer les contrôles sur le marché par la création du SPM. Opérationnel d’ici le mois prochain, le State Procurement of Madagascar (SPM) aura un statut de régulateur sur marché local de manière à prévenir les tentatives de spéculations perpétrées par certains opérateurs en profitant du contexte de pandémie. L’annonce a été faite, samedi dans le grand marché d’Anosibe par la ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, à l’occasion d’une descente du staff du ministère pour marquer la célébration de la journée mondiale de la protection des droits des consommateurs. « Le SPM n’accaparera pas la totalité du marché de l’importation de produits de première nécessité. Il agira plutôt sur la régulation et le contrôle de ce marché » explique Lantosoa Rakotomanga, ministre de l’Industrie du Commerce et de l’Artisanat. Par exemple, le SPM n’importera du riz que lorsque les opérateurs habituels ne pourront pas suivre le rythme de consommation de la population. L’organe étatique agira ainsi en complémentarité avec le rôle des importateurs tout en contrôlant les actions de ces derniers. Selon le ministre, une quinzaine d’opérateurs partagent une grande part du marché d’importation de PPN dans toute l’île.
En prévision de possible inflation face aux contextes de pandémie mondiale, l’Etat envisage de renforcer les contrôles sur le marché par la création du SPM. Opérationnel d’ici le mois prochain, le State Procurement of Madagascar (SPM) aura un statut de régulateur sur marché local de manière à prévenir les tentatives de spéculations perpétrées par certains opérateurs en profitant du contexte de pandémie. L’annonce a été faite, samedi dans le grand marché d’Anosibe par la ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, à l’occasion d’une descente du staff du ministère pour marquer la célébration de la journée mondiale de la protection des droits des consommateurs. « Le SPM n’accaparera pas la totalité du marché de l’importation de produits de première nécessité. Il agira plutôt sur la régulation et le contrôle de ce marché » explique Lantosoa Rakotomanga, ministre de l’Industrie du Commerce et de l’Artisanat. Par exemple, le SPM n’importera du riz que lorsque les opérateurs habituels ne pourront pas suivre le rythme de consommation de la population. L’organe étatique agira ainsi en complémentarité avec le rôle des importateurs tout en contrôlant les actions de ces derniers. Selon le ministre, une quinzaine d’opérateurs partagent une grande part du marché d’importation de PPN dans toute l’île.