Une autre étape de franchie. La construction du barrage hydroélectrique de la centrale de Volobe peut enfin démarrer avec l'octroi de parcelles de terrains pour lancer l'édification du projet. Une décision prise mercredi lors du premier Conseil des ministres du gouvernement collégial. "Il a été arrêté en Conseil des ministres l'octroi de l'autorisation à la société CGHV d'exploiter des terrains pour la construction de la centrale hydroélectrique de Volobe Amont", peut-on lire dans le rapport du Conseil. À en croire ce document, il s'agirait "d'une concession de deux mille hectares à entretenir pour une durée de cinq ans". Par rapport à cette concession de cinq ans, l'exécutif rassure, "Le Premier ministre a été clair. Il n'y aura ni spoliation ni expropriation, les terrains occupés par le projet resteront propriété de leur titulaire", indique ledit document. Une grande partie de ces deux mille hectares appartient à l'Etat. Toutefois, il existe des parcelles abritant des monticules de terrains appartenant à des particuliers. Des terres qui seront interdites de vente à se fier au rapport du Conseil des ministres. Au mois de Mai, les contrats du projet Volobe Amont, communément connus sous l'appellation de Volobe, ont été signés. Des accords dans lesquels était justement fixé le contrat de concession du site où seront mises sur pieds les fondations de la future centrale hydroélectrique.
Une autre étape de franchie. La construction du barrage hydroélectrique de la centrale de Volobe peut enfin démarrer avec l'octroi de parcelles de terrains pour lancer l'édification du projet. Une décision prise mercredi lors du premier Conseil des ministres du gouvernement collégial. "Il a été arrêté en Conseil des ministres l'octroi de l'autorisation à la société CGHV d'exploiter des terrains pour la construction de la centrale hydroélectrique de Volobe Amont", peut-on lire dans le rapport du Conseil. À en croire ce document, il s'agirait "d'une concession de deux mille hectares à entretenir pour une durée de cinq ans". Par rapport à cette concession de cinq ans, l'exécutif rassure, "Le Premier ministre a été clair. Il n'y aura ni spoliation ni expropriation, les terrains occupés par le projet resteront propriété de leur titulaire", indique ledit document. Une grande partie de ces deux mille hectares appartient à l'Etat. Toutefois, il existe des parcelles abritant des monticules de terrains appartenant à des particuliers. Des terres qui seront interdites de vente à se fier au rapport du Conseil des ministres. Au mois de Mai, les contrats du projet Volobe Amont, communément connus sous l'appellation de Volobe, ont été signés. Des accords dans lesquels était justement fixé le contrat de concession du site où seront mises sur pieds les fondations de la future centrale hydroélectrique.