Triple arrestation après le meurtre d’un adjudant chef des forces de développement. Le crime a été perpétré au camp de Moramana à Ambalavao Fianarantsoa avec comme mobile un vol d’armes et de tenues de combat de l’adjudant chef, dans la soirée de dimanche vers 19heures. Un ex-soldat de deuxième classe, qui avait effectué son service légal au camp, ainsi que deux de ses complices, ont été arrêtés par la gendarmerie. L'ex-militaire incriminé a été le premier à se faire cueillir. Il s’est fait coincer à Andiolava Ihosy mercredi. Cuisiné par les enquêteurs, ce principal suspect les a conduits dans un champ, où il avait enterré le Kalachnikov, pris sur la victime. Il a, dans la foulée, conduit les gendarmes jusqu’à deux de ses comparses, terrés à Ambatolahy Ihosy. Arrêtés avant-hier, ces derniers ont sorti trois boîtes de chargeurs et cinquante neuf cartouches. La tenue de combat reste en revanche introuvable. L’adjudant-chef était seul au camp au moment des faits. Les soupçons se sont portés sur l’ex-soldat de deuxième classe car celui-ci rôdait aux abords du camp le jour du meurtre. S.A.
Triple arrestation après le meurtre d’un adjudant chef des forces de développement. Le crime a été perpétré au camp de Moramana à Ambalavao Fianarantsoa avec comme mobile un vol d’armes et de tenues de combat de l’adjudant chef, dans la soirée de dimanche vers 19heures. Un ex-soldat de deuxième classe, qui avait effectué son service légal au camp, ainsi que deux de ses complices, ont été arrêtés par la gendarmerie. L'ex-militaire incriminé a été le premier à se faire cueillir. Il s’est fait coincer à Andiolava Ihosy mercredi. Cuisiné par les enquêteurs, ce principal suspect les a conduits dans un champ, où il avait enterré le Kalachnikov, pris sur la victime. Il a, dans la foulée, conduit les gendarmes jusqu’à deux de ses comparses, terrés à Ambatolahy Ihosy. Arrêtés avant-hier, ces derniers ont sorti trois boîtes de chargeurs et cinquante neuf cartouches. La tenue de combat reste en revanche introuvable. L’adjudant-chef était seul au camp au moment des faits. Les soupçons se sont portés sur l’ex-soldat de deuxième classe car celui-ci rôdait aux abords du camp le jour du meurtre. S.A.