Le secrétaire d’État en charge des Nouvelles villes et de l’habitat répond aux doutes des responsables de l’école des sœurs Sekolintsika Analamahitsy. Le projet transport par câble ne sera plus modifiable. Non modifiable. Le tracé de la ligne Orange du transport par câble ne changera pas. La ligne reliant Anosy, Soarano, Ankorondrano, Ivandry, Analamahitsy et Ambatobe, traversera quelques écoles, dont l’école des sœurs Sekolintsika Analamahitsy. Malgré le mouvement de contestation des responsables, des parents d’élèves et des élèves de cet établissement scolaire, vendredi. « Nous ne pouvons plus changer le tracé. Si nous avons attendu un an et demi, avant de démarrer les travaux, c’est pour avoir les normes idéales. Si ce moyen de transport est validé par les hôpitaux, par les écoles publiques, pourquoi il ne conviendrait pas aux écoles privées ? », lance Gérard Andriamanohisoa, secrétaire d’État en charge des Nouvelles villes et de l’habitat (SENVH), samedi. Il défend bec et ongle ce projet de téléphérique, tandis que les responsables de cette école confessionnelle redoutent les impacts de ce moyen de transport sur l’enseignement, à savoir, la baisse de la concentration des élèves en classe, avec les cabines qui vont aller et venir, au- dessus de l’école, tous les jours, et le risque d’accident dans l’enceinte de l’établissement. Gérard Andriamanohisoa réplique que ce transport par câble ne perturberait pas l’enseignement.
Le secrétaire d’État en charge des Nouvelles villes et de l’habitat répond aux doutes des responsables de l’école des sœurs Sekolintsika Analamahitsy. Le projet transport par câble ne sera plus modifiable. Non modifiable. Le tracé de la ligne Orange du transport par câble ne changera pas. La ligne reliant Anosy, Soarano, Ankorondrano, Ivandry, Analamahitsy et Ambatobe, traversera quelques écoles, dont l’école des sœurs Sekolintsika Analamahitsy. Malgré le mouvement de contestation des responsables, des parents d’élèves et des élèves de cet établissement scolaire, vendredi. « Nous ne pouvons plus changer le tracé. Si nous avons attendu un an et demi, avant de démarrer les travaux, c’est pour avoir les normes idéales. Si ce moyen de transport est validé par les hôpitaux, par les écoles publiques, pourquoi il ne conviendrait pas aux écoles privées ? », lance Gérard Andriamanohisoa, secrétaire d’État en charge des Nouvelles villes et de l’habitat (SENVH), samedi. Il défend bec et ongle ce projet de téléphérique, tandis que les responsables de cette école confessionnelle redoutent les impacts de ce moyen de transport sur l’enseignement, à savoir, la baisse de la concentration des élèves en classe, avec les cabines qui vont aller et venir, au- dessus de l’école, tous les jours, et le risque d’accident dans l’enceinte de l’établissement. Gérard Andriamanohisoa réplique que ce transport par câble ne perturberait pas l’enseignement.