Une centaine de chefs des Zones administratives et pédagogiques (ZAP) est réunie depuis le lundi 14 janvier, dans une école primaire publique de son chef-lieu Ambatondrazaka, à Antsahatanteraka. Ce regroupement organisé par la direction régionale de l’Éducation nationale (DREN) d’Alaotra-Mangoro et qui dure cinq jours, prend la forme d’une formation approfondie, sous la direction de responsables issus du ministère de tutelle. L’atelier se base sur une séance de formation et de partage d’instructions. Celles-ci visent à surveiller et à contrôler les directeurs d’écoles dans l’application de ce qu’ils avaient reçu au cours d’une formation spéciale. Selon des observateurs locaux, les chefs ZAP auraient du pain sur la planche. En effet, l’État s’efforce d’apporter une amélioration dans la gestion et la mise en marche de tous les établissements scolaires afin d’instaurer la bonne gouvernance, l’éthique, la déontologie et le respect de la conscience professionnelle pour le bien de l’Éducation et son monde. La formation spéciale dont ont bénéficié les directeurs d’écoles, doit en principe les aider dans quatre domaines d’intervention, à savoir l’administration et les finances, la pédagogie, le domaine social et l’environnement ainsi que la planification. À cela s’ajoute la capacité d’établir et de bien mettre au point ce qu’on appelle « projet d’établissement contractualisé ».
Une centaine de chefs des Zones administratives et pédagogiques (ZAP) est réunie depuis le lundi 14 janvier, dans une école primaire publique de son chef-lieu Ambatondrazaka, à Antsahatanteraka. Ce regroupement organisé par la direction régionale de l’Éducation nationale (DREN) d’Alaotra-Mangoro et qui dure cinq jours, prend la forme d’une formation approfondie, sous la direction de responsables issus du ministère de tutelle. L’atelier se base sur une séance de formation et de partage d’instructions. Celles-ci visent à surveiller et à contrôler les directeurs d’écoles dans l’application de ce qu’ils avaient reçu au cours d’une formation spéciale. Selon des observateurs locaux, les chefs ZAP auraient du pain sur la planche. En effet, l’État s’efforce d’apporter une amélioration dans la gestion et la mise en marche de tous les établissements scolaires afin d’instaurer la bonne gouvernance, l’éthique, la déontologie et le respect de la conscience professionnelle pour le bien de l’Éducation et son monde. La formation spéciale dont ont bénéficié les directeurs d’écoles, doit en principe les aider dans quatre domaines d’intervention, à savoir l’administration et les finances, la pédagogie, le domaine social et l’environnement ainsi que la planification. À cela s’ajoute la capacité d’établir et de bien mettre au point ce qu’on appelle « projet d’établissement contractualisé ».