Composante essentielle de l'économie de nombreux pays, le secteur informel se développe à une vitesse fulgurante surtout avec l’avènement des nouvelles technologies de communication. C’est en réponse à ce problématique que la mise en place d’un dispositif opérationnel pour la fiscalisation des activités commerciales informelles en ligne, a été proposée à Androhibe lors d’une soutenance à l’Ecole Nationale d'Administration de Madagascar (ENAM). « De toutes les ressources publiques définitives “l'impôt” constitue la principale source de revenus d’un État car lorsqu'il est prélevé, il n y a pas de contrepartie précise en faveur du contribuable. L’évaluation fiscale se fait de manière déclarative. Cependant, rares sont les contribuables ayant des activités commerciales en ligne à s’adonner de leur plein gré à cet exercice », déplore Angelot Zoarimanana, étudiant en formation continue, section gestion publique à l’ENAM. L’impétrant met ainsi en exergue l’importance du rôle de certains réseaux sociaux dans la collecte des données pouvant servir à évaluer les contribuables dans la lutte contre la fraude fiscale.
Composante essentielle de l'économie de nombreux pays, le secteur informel se développe à une vitesse fulgurante surtout avec l’avènement des nouvelles technologies de communication. C’est en réponse à ce problématique que la mise en place d’un dispositif opérationnel pour la fiscalisation des activités commerciales informelles en ligne, a été proposée à Androhibe lors d’une soutenance à l’Ecole Nationale d'Administration de Madagascar (ENAM). « De toutes les ressources publiques définitives “l'impôt” constitue la principale source de revenus d’un État car lorsqu'il est prélevé, il n y a pas de contrepartie précise en faveur du contribuable. L’évaluation fiscale se fait de manière déclarative. Cependant, rares sont les contribuables ayant des activités commerciales en ligne à s’adonner de leur plein gré à cet exercice », déplore Angelot Zoarimanana, étudiant en formation continue, section gestion publique à l’ENAM. L’impétrant met ainsi en exergue l’importance du rôle de certains réseaux sociaux dans la collecte des données pouvant servir à évaluer les contribuables dans la lutte contre la fraude fiscale.