Louer un grand chalet au ski Après un Conseil des ministres marathon, les mesures sur la réouverture de la frontière aérienne ont été édictées. Avec deux échéances calendaires. Une délivrance. Après un an et demi de purgatoire, le tourisme entrevoit enfin le bout du tunnel. Le Conseil des ministres tenu hier a satisfait l’attente des opérateurs touristiques au bord de l’asphyxie depuis quelques temps. Le confinement et l’état d’urgence sanitaire ont presque anéanti le secteur touristique. Des établissements ont fermé, des emplois ont été perdus. La galère a pris fin depuis hier avec l’annonce de la réouverture des frontières. Mais il faudra encore patienter puisque les touristes ne vont pas venir tout de suite. Il faudra beaucoup de temps pour que les choses reviennent à la normale. Tout se fera d’ailleurs de manière progressive selon le calendrier établi par le conseil des ministres. La réouverture sera d’abord régionale à partir du 23 octobre sur les dessertes Maurice-Madagascar avec Air Mauritius et La Réunion-Madagascar avec Air Austral. Elle sera étendue aux vols long-courriers Europe à destination d’Antananarivo avec Air Madagascar et Air France ainsi que les vols charters depuis Rome et Milan vers Nosy-Be le 6 novembre. À part les évacuations sanitaires, les venues des jets privés ou des vols spéciaux doivent avoir l’autorisation du président de la République et du Premier ministre. Confinement réduit D’autres dispositifs accompagnent ces décisions salutaires pour les activités liées au tourisme. Le test PCR devient payant à concurrence de 25 euros, inclus dans le tarif du billet d’avion, pour les visiteurs. Le confinement durera une ou deux journées dans l’attente du résultat du test PCR. Les positifs passeront une mise en quarantaine de quatorze jours. La fréquence d’arrivées des avions va être réduite, au contraire de celle d’avant la pandémie du coronavirus. Une arrivée toutes les cinq heures, suivant les directives de l’Organisation de l’Aviation civile internationale, OACI qui a donné son feu vert à cet open sky post-Covid. Des réunions interministérielles ont eu lieu pour préparer dans les meilleures conditions cette reprise des trafics aériens en provenance et à destination de Madagascar. Les autorités entendent dresser une liste rouge des pays « non-fréquentables ». Madagascar a accepté son admission au « Safe travel stamp », une sorte de cachet de voyage, rassurant les touristes désireux de venir. Tout a été remis dans l’ordre. Il reste à respecter ces « gestes barrières » pour l’intérêt de tous.
Louer un grand chalet au ski Après un Conseil des ministres marathon, les mesures sur la réouverture de la frontière aérienne ont été édictées. Avec deux échéances calendaires. Une délivrance. Après un an et demi de purgatoire, le tourisme entrevoit enfin le bout du tunnel. Le Conseil des ministres tenu hier a satisfait l’attente des opérateurs touristiques au bord de l’asphyxie depuis quelques temps. Le confinement et l’état d’urgence sanitaire ont presque anéanti le secteur touristique. Des établissements ont fermé, des emplois ont été perdus. La galère a pris fin depuis hier avec l’annonce de la réouverture des frontières. Mais il faudra encore patienter puisque les touristes ne vont pas venir tout de suite. Il faudra beaucoup de temps pour que les choses reviennent à la normale. Tout se fera d’ailleurs de manière progressive selon le calendrier établi par le conseil des ministres. La réouverture sera d’abord régionale à partir du 23 octobre sur les dessertes Maurice-Madagascar avec Air Mauritius et La Réunion-Madagascar avec Air Austral. Elle sera étendue aux vols long-courriers Europe à destination d’Antananarivo avec Air Madagascar et Air France ainsi que les vols charters depuis Rome et Milan vers Nosy-Be le 6 novembre. À part les évacuations sanitaires, les venues des jets privés ou des vols spéciaux doivent avoir l’autorisation du président de la République et du Premier ministre. Confinement réduit D’autres dispositifs accompagnent ces décisions salutaires pour les activités liées au tourisme. Le test PCR devient payant à concurrence de 25 euros, inclus dans le tarif du billet d’avion, pour les visiteurs. Le confinement durera une ou deux journées dans l’attente du résultat du test PCR. Les positifs passeront une mise en quarantaine de quatorze jours. La fréquence d’arrivées des avions va être réduite, au contraire de celle d’avant la pandémie du coronavirus. Une arrivée toutes les cinq heures, suivant les directives de l’Organisation de l’Aviation civile internationale, OACI qui a donné son feu vert à cet open sky post-Covid. Des réunions interministérielles ont eu lieu pour préparer dans les meilleures conditions cette reprise des trafics aériens en provenance et à destination de Madagascar. Les autorités entendent dresser une liste rouge des pays « non-fréquentables ». Madagascar a accepté son admission au « Safe travel stamp », une sorte de cachet de voyage, rassurant les touristes désireux de venir. Tout a été remis dans l’ordre. Il reste à respecter ces « gestes barrières » pour l’intérêt de tous.