Dans le sens de la libéralisation progressive du commerce des services. L'atelier national de validation de la liste d'engagements spécifiques sur le commerce des services s'est tenu, hier à l'hôtel Le Louvre. Il s'agit d'une suite logique de ce qui a déjà été entrepris, du 31 aout au 2 septembre, pour la validation technique de ladite liste. Selon les explications de Gilchrist Fanomezantsoa Rakotoson, directeur de la Promotion des échanges extérieurs, « cette liste d'engagements spécifiques est un document qui détermine les conditions d'accès à notre marché, comme la limite en capital social ou la forme juridique imposée, et les conditions de traitement sur notre marché ». Les techniciens du secteur public et des secteurs privés s’y sont engagés depuis l'année dernière. Cet atelier a donc eu pour objet de présenter la liste auprès des décideurs politiques pour leur aval, avant la transmission au Secrétariat exécutif de la SADC. Les enjeux sont majeurs, du fait que « cette liste est la condition de notre participation aux négociations régionales et internationales sur le service. Sans cette liste, on ne participe pas et on n'a pas accès aux marchés étrangers », souligne Gilchrist Fanomezantsoa Rakotoson. Mais s'agissant également d'un engagement auquel Madagascar est déjà astreinte, il est par conséquent question pour la Grande Ile de se conformer à ses obligations régionales et internationales. Rado Andriamampandry
Dans le sens de la libéralisation progressive du commerce des services. L'atelier national de validation de la liste d'engagements spécifiques sur le commerce des services s'est tenu, hier à l'hôtel Le Louvre. Il s'agit d'une suite logique de ce qui a déjà été entrepris, du 31 aout au 2 septembre, pour la validation technique de ladite liste. Selon les explications de Gilchrist Fanomezantsoa Rakotoson, directeur de la Promotion des échanges extérieurs, « cette liste d'engagements spécifiques est un document qui détermine les conditions d'accès à notre marché, comme la limite en capital social ou la forme juridique imposée, et les conditions de traitement sur notre marché ». Les techniciens du secteur public et des secteurs privés s’y sont engagés depuis l'année dernière. Cet atelier a donc eu pour objet de présenter la liste auprès des décideurs politiques pour leur aval, avant la transmission au Secrétariat exécutif de la SADC. Les enjeux sont majeurs, du fait que « cette liste est la condition de notre participation aux négociations régionales et internationales sur le service. Sans cette liste, on ne participe pas et on n'a pas accès aux marchés étrangers », souligne Gilchrist Fanomezantsoa Rakotoson. Mais s'agissant également d'un engagement auquel Madagascar est déjà astreinte, il est par conséquent question pour la Grande Ile de se conformer à ses obligations régionales et internationales. Rado Andriamampandry