La police de la circulation et les tireurs de charrettes continuent de se disputer dans les rues de la capitale. Les tireurs de pousse d’Anosibe ont haussé le ton, hier. Une cinquantaine de charrettes ont été arrêtées à partir de 10 heures. Ceux d’Andavamamba ont également ralé vers 14 heures. Aucun affrontement mais les tireurs de charrette n’ont cessé de marmonner pour marquer leur désapprobation, mais personne n’a osé bouger de sa chaise. La plupart des tireurs de charrettes n’acceptent pas le nouveau règlement. « Je nourris mes quatre enfants avec le maigre salaire que je reçois de ce métier. Ma femme ne travaille pas. Ce sont les propriétaires des charrettes qui se sont arrangés avec les responsables de la Préfecture. Ces propriétaires ne connaissent pas nos soucis et nos problèmes au quotidien. Nous exigeons à ce que ces propriétaires discutent de ce problème en notre présence, pour éclaircir la situation. Depuis avant-hier, les mêmes choses se répètent. Il n’y a pas de mise en fourrière mais dès 10 heures, toutes les charrettes sont arrêtées. De ce fait, une cinquantaine de charrettes se sont arrêtées, bloquant ainsi la circulation car il n’y avait plus assez de place pour les garer », affirme Raymond, tireur de charrette à Anosibe.
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