Une famille a perdu son fils unique à Ambohipo. Tombé du deuxième étage, un petit garçon de deux ans n’a pas survécu. Cet accident domestique s’est produit dimanche aux alentours de midi. Un court moment d’inattention de sa mère, occupée aux tâches ménagères, a suffi pour que le bébé se rende jusqu’au balcon. Insouciant, il s’est approché trop près du rebord pour ensuite tomber dans le vide. Le petit était devenu comateux lorsqu’il a violemment atterri sur le sol. Sous les cris des riverains, témoins oculaires de la tragédie, sa mère a couru pour lui venir en aide et l’évacuer à l’hôpital en un éclair avec l’assistance des personnes des environs. Le crâne du bébé était ramolli après le choc. Admis au service des urgences de l’hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona, l’enfant a été tout de suite placé sous soins intensifs. Venue à la hâte à l’hôpital, sa mère, emportée par la panique n’a pas eu le temps d’apporter de l’argent. L’assistance sociale a de ce fait pris en charge les médicaments urgents. Le bébé a passé un scanner dans la soirée mais malgré la tentative de ses parents et des médecins, le malheureux a succombé vers une heure du matin.
Une famille a perdu son fils unique à Ambohipo. Tombé du deuxième étage, un petit garçon de deux ans n’a pas survécu. Cet accident domestique s’est produit dimanche aux alentours de midi. Un court moment d’inattention de sa mère, occupée aux tâches ménagères, a suffi pour que le bébé se rende jusqu’au balcon. Insouciant, il s’est approché trop près du rebord pour ensuite tomber dans le vide. Le petit était devenu comateux lorsqu’il a violemment atterri sur le sol. Sous les cris des riverains, témoins oculaires de la tragédie, sa mère a couru pour lui venir en aide et l’évacuer à l’hôpital en un éclair avec l’assistance des personnes des environs. Le crâne du bébé était ramolli après le choc. Admis au service des urgences de l’hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona, l’enfant a été tout de suite placé sous soins intensifs. Venue à la hâte à l’hôpital, sa mère, emportée par la panique n’a pas eu le temps d’apporter de l’argent. L’assistance sociale a de ce fait pris en charge les médicaments urgents. Le bébé a passé un scanner dans la soirée mais malgré la tentative de ses parents et des médecins, le malheureux a succombé vers une heure du matin.