Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique est ferme, par rapport à l’élection des présidents des universités, qui se tient entre le 8 mars et le 8 avril. Il exige la présence physique de chaque électeur, lors du vote. « Cette préparation électorale s'est caractérisée par l'impossibilité de voter par procuration car voter est un droit individuel ou « Droit individuel ». », souligne le ministère. Le vote par procuration serait courant, durant l’élection des présidents, selon la constatation du ministère, s’il devrait être une exception. Dans certaines universités, elle serait vendue entre 100 000 ariary et 600 000 ariary. « C’est par principe et par souci de transparence que cette mesure a été prise. L’élection a lieu tous les trois ans. Chaque électeur devait s’y préparer à l’avance. », enchaîne notre source auprès du ministère. Du côté des enseignants, l’impossibilité du vote par procuration est problématique. Des droits de votes seront supprimés, suite à cette décision. Selon leurs explications, certains enseignants seront, obligatoirement, absents durant l’élection, pour obligation de service dans une autre région, voire même, à l’étranger.
Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique est ferme, par rapport à l’élection des présidents des universités, qui se tient entre le 8 mars et le 8 avril. Il exige la présence physique de chaque électeur, lors du vote. « Cette préparation électorale s'est caractérisée par l'impossibilité de voter par procuration car voter est un droit individuel ou « Droit individuel ». », souligne le ministère. Le vote par procuration serait courant, durant l’élection des présidents, selon la constatation du ministère, s’il devrait être une exception. Dans certaines universités, elle serait vendue entre 100 000 ariary et 600 000 ariary. « C’est par principe et par souci de transparence que cette mesure a été prise. L’élection a lieu tous les trois ans. Chaque électeur devait s’y préparer à l’avance. », enchaîne notre source auprès du ministère. Du côté des enseignants, l’impossibilité du vote par procuration est problématique. Des droits de votes seront supprimés, suite à cette décision. Selon leurs explications, certains enseignants seront, obligatoirement, absents durant l’élection, pour obligation de service dans une autre région, voire même, à l’étranger.