Faire avancer le développement par les personnes et les technologies, c’est l’objectif que se fixent les initiateurs du projet FY VARY ( Fertility sensing and Variety Amelioration for RiceYeld) ou détection de la fertilité et amélioration variétale pour le rendement du riz. Pour ce faire, une évaluation des résultats du projet a été effectuée avant-hier à Antaninarenina. Étant à mi-parcours, le FY VARY, qui a débuté en 2017, sera finalisé d’ici trois ans. Le projet, financé à hauteur de 12,7 milliards d’ariary pour une durée de cinq ans, sera mis en œuvre dans les régions Vakinankaratra, Analamanga et Alaotra-Mangoro. « FY VARY vise à développer des techniques de production de riz pour améliorer l’efficacité d’utilisation de nutriments dans les conditions de sols à faibles intrants et peu fertiles à Madagascar, et sera principalement mis en œuvre dans les régions des Hautes Terres centrales. Pour cela, le projet comprend quatre axes de recherche, dont le développement de techniques d’évaluation et de cartographie des caractéristiques en termes de nutriments de champs », explique le docteur Tsujimoto Yasuhiro, chef de projet.
Faire avancer le développement par les personnes et les technologies, c’est l’objectif que se fixent les initiateurs du projet FY VARY ( Fertility sensing and Variety Amelioration for RiceYeld) ou détection de la fertilité et amélioration variétale pour le rendement du riz. Pour ce faire, une évaluation des résultats du projet a été effectuée avant-hier à Antaninarenina. Étant à mi-parcours, le FY VARY, qui a débuté en 2017, sera finalisé d’ici trois ans. Le projet, financé à hauteur de 12,7 milliards d’ariary pour une durée de cinq ans, sera mis en œuvre dans les régions Vakinankaratra, Analamanga et Alaotra-Mangoro. « FY VARY vise à développer des techniques de production de riz pour améliorer l’efficacité d’utilisation de nutriments dans les conditions de sols à faibles intrants et peu fertiles à Madagascar, et sera principalement mis en œuvre dans les régions des Hautes Terres centrales. Pour cela, le projet comprend quatre axes de recherche, dont le développement de techniques d’évaluation et de cartographie des caractéristiques en termes de nutriments de champs », explique le docteur Tsujimoto Yasuhiro, chef de projet.