La façade de la solidarité des députés IRD se craquèle. Par manque de cohésion ou de communication, les députés ont failli au vote du Code de la Communication. Risque de dislocation de la solidarité de la majorité présidentielle à Tsimbazaza. Une faille a laissé désarticulée la cohésion des députés pro-régimes (IRD), visible par la baisse de rigueur entre les élus issus de l’IRD lors de l’adoption de la loi sur le Code de la communication médiatisée, mardi. Un député de l’opposition a réussi à imposer sa position face à une quarantaine de parlementaires. Les députés de la majorité ne sont pas parvenus à conforter leur solidarité sur la question de la publication des informations qui filtrent lors des séances à huis-clos. Un point de divergence qui s’est posé durant la séance plénière, mardi. Seul contre tous ou tous contre seul ? Le rapport de force est visiblement déséquilibré. En un mot, les députés aussi bien ceux élus sous la couleur de l’IRD et les indépendants n’ont pas montré assez de conviction pour défendre le projet de loi. À plusieurs reprises, des échanges pour illustrer le côté positif et négatif de l’interdiction de la publication des débats à huis-clos ont été exposés. Influence Même si le ministre de la Communication et de la Culture, Lalatiana Rakotondrazafy Andriantongarivo, a lutté pour la liberté d’expression dans le but de primer l’intérêt général, les députés, notamment ceux de la majorité, n’ont rien pris en considération. À la lecture du scénario à l’Assemblée nationale, « le message de clin d’œil» du ministre de la Communication et de la culture à l’endroit des députés de l’IRD n’est pas passé. Certains élus, à l’exemple du député Tsiliva Diddiot et Fetra Rakotondrasoa, ont quand même rendu compte que l’explication du ministre aurait véhiculé « une consigne ». Tandis que les autres ont été engloutis par l’influence du député Fidèle Razarapiera du Tiako i Madagasikara (TIM) au sujet de débat à huis-clos depuis le travail de commission. D’un côté, la position des parlementaires présents à la séance plénière était claire. Le fait de dévoiler au grand jour les informations à huis-clos n’est pas de leur goût. C’est évident qu’ils sont restés en bloc. D’un autre côté, certains observateurs se demandent si le geste des députés de l’IRD aurait été teinté d’un calcul politique. Au regard « des causes à défendre » à l’Assemblée nationale, est-ce qu’ils resteront à jamais fidèles à leur « président » ?
La façade de la solidarité des députés IRD se craquèle. Par manque de cohésion ou de communication, les députés ont failli au vote du Code de la Communication. Risque de dislocation de la solidarité de la majorité présidentielle à Tsimbazaza. Une faille a laissé désarticulée la cohésion des députés pro-régimes (IRD), visible par la baisse de rigueur entre les élus issus de l’IRD lors de l’adoption de la loi sur le Code de la communication médiatisée, mardi. Un député de l’opposition a réussi à imposer sa position face à une quarantaine de parlementaires. Les députés de la majorité ne sont pas parvenus à conforter leur solidarité sur la question de la publication des informations qui filtrent lors des séances à huis-clos. Un point de divergence qui s’est posé durant la séance plénière, mardi. Seul contre tous ou tous contre seul ? Le rapport de force est visiblement déséquilibré. En un mot, les députés aussi bien ceux élus sous la couleur de l’IRD et les indépendants n’ont pas montré assez de conviction pour défendre le projet de loi. À plusieurs reprises, des échanges pour illustrer le côté positif et négatif de l’interdiction de la publication des débats à huis-clos ont été exposés. Influence Même si le ministre de la Communication et de la Culture, Lalatiana Rakotondrazafy Andriantongarivo, a lutté pour la liberté d’expression dans le but de primer l’intérêt général, les députés, notamment ceux de la majorité, n’ont rien pris en considération. À la lecture du scénario à l’Assemblée nationale, « le message de clin d’œil» du ministre de la Communication et de la culture à l’endroit des députés de l’IRD n’est pas passé. Certains élus, à l’exemple du député Tsiliva Diddiot et Fetra Rakotondrasoa, ont quand même rendu compte que l’explication du ministre aurait véhiculé « une consigne ». Tandis que les autres ont été engloutis par l’influence du député Fidèle Razarapiera du Tiako i Madagasikara (TIM) au sujet de débat à huis-clos depuis le travail de commission. D’un côté, la position des parlementaires présents à la séance plénière était claire. Le fait de dévoiler au grand jour les informations à huis-clos n’est pas de leur goût. C’est évident qu’ils sont restés en bloc. D’un autre côté, certains observateurs se demandent si le geste des députés de l’IRD aurait été teinté d’un calcul politique. Au regard « des causes à défendre » à l’Assemblée nationale, est-ce qu’ils resteront à jamais fidèles à leur « président » ?