De plus en plus d’épiceries prennent le temps de vérifier l’argent que leurs clients les passent depuis quelques jours. « Nous le faisons systématiquement maintenant, car nous avons été surpris par deux fois », lance un épicier du côté d’Anjanahary. « La première fois c’était un billet de 10 000 ariary et la seconde, un billet de 20 000 ariary ». Durant les deux cas, l’épicier s’en est bien sorti en reconnaissant immédiatement les faux billets. « La différence est saisissante au toucher. C’est ce qui nous a mis la puce à l’oreille. Lorsqu’on lui a dit cela au gars aux 20 000 ariary, il a repris le coupon et a rapidement disparu », raconte l’épicier. Depuis, il s’est imposé un petit rituel de vérification visuelle avant d’encaisser. Les mêmes gestes ont été remarqués dans d’autres épiceries d’autres quartiers de la ville.
De plus en plus d’épiceries prennent le temps de vérifier l’argent que leurs clients les passent depuis quelques jours. « Nous le faisons systématiquement maintenant, car nous avons été surpris par deux fois », lance un épicier du côté d’Anjanahary. « La première fois c’était un billet de 10 000 ariary et la seconde, un billet de 20 000 ariary ». Durant les deux cas, l’épicier s’en est bien sorti en reconnaissant immédiatement les faux billets. « La différence est saisissante au toucher. C’est ce qui nous a mis la puce à l’oreille. Lorsqu’on lui a dit cela au gars aux 20 000 ariary, il a repris le coupon et a rapidement disparu », raconte l’épicier. Depuis, il s’est imposé un petit rituel de vérification visuelle avant d’encaisser. Les mêmes gestes ont été remarqués dans d’autres épiceries d’autres quartiers de la ville.