Des universités partenaires de l’Agence de développement de l’électrification rurale (ADER) proposent des formations en énergies renouvelables. « Le potentiel important du marché des énergies renouvelables concède des projets qui ne se limiteraient plus à la construction de centrales et de réseaux. Il est nécessaire de développer des compétences de haut niveau dans le domaine de l’Énergie et d’orienter notamment les savoir-faire sur le management de projets d’énergies renouvelables », ont fait savoir des partenaires de l’ADER, lors d’un échange sur le domaine des énergies renouvelables. Il s’agit de la cinquième édition de la Plateforme d’échanges Public-privé du sous secteur de l’électrification rurale qui a eu lieu vendredi dernier, au ministère à Ampandrianomby. Les actions vont ainsi dans le sens de cette coopération avec les universités pour former des ingénieurs et des techniciens. La rencontre de vendredi a permis de proposer quelques outils financiers et a été une opportunité de partage des données sur le système d’Information énergétique du secteur Énergie, développé par le ministère de l’Énergie, de l’eau et des hydrocarbures.
Des universités partenaires de l’Agence de développement de l’électrification rurale (ADER) proposent des formations en énergies renouvelables. « Le potentiel important du marché des énergies renouvelables concède des projets qui ne se limiteraient plus à la construction de centrales et de réseaux. Il est nécessaire de développer des compétences de haut niveau dans le domaine de l’Énergie et d’orienter notamment les savoir-faire sur le management de projets d’énergies renouvelables », ont fait savoir des partenaires de l’ADER, lors d’un échange sur le domaine des énergies renouvelables. Il s’agit de la cinquième édition de la Plateforme d’échanges Public-privé du sous secteur de l’électrification rurale qui a eu lieu vendredi dernier, au ministère à Ampandrianomby. Les actions vont ainsi dans le sens de cette coopération avec les universités pour former des ingénieurs et des techniciens. La rencontre de vendredi a permis de proposer quelques outils financiers et a été une opportunité de partage des données sur le système d’Information énergétique du secteur Énergie, développé par le ministère de l’Énergie, de l’eau et des hydrocarbures.