L’artiste visuel Vanii Suki s’épanouit professionnellement en faisant de sa passion un véritable métier. La jeune femme puise sa force dans la petite enfant qui sommeille en elle. Tseheno Sandaniaina Vaninah Seraphine alias Vanii Suki mène sa carrière sans trop prendre la tête. Son caractère simple et discret avec sa bouille de manga lui donne un air d’éternelle petite fille. La femmeenfant excelle bien dans son domaine, l’art visuel. Sa signature a accompagné les illustrations du magazine mensuel No Comment pendant plusieurs numéros. Ses œuvres se distinguent par des traits plutôt enfantins mélangeant humour et réalité. Elle les réalise avec une bonne maîtrise des techniques utilisées par les bons professionnels. Vanii Suki sait faire du Character design, du Background, et du Story Board. Elle vit de sa passion, un rêve qui l’a bercé depuis toute petite. « Dès mon jeune âge, je suis fascinée par les dessins animés et les histoires de mon enfance. Je crois que cela m’a guidée vers le troisième art. Je m’inspirais de l’ univers magique de Harry Potter, Peter Pan, des Disney, ou encore des animations du studio Ghibli », avoue-t-elle. Projets en gestation Avec Mat Li, un autre artiste, Vanii Suki compte faire un petit business de goodies illustré. Elle prépare également avec les Malagasy Potterheads une exposition qui se tiendra du 19 au 31 octobre prochain au centre culturel du Tour Sahavola ou l'IKM à Antsahavola. Illustratrice de profession Vanii Suki a forgé ses armes chez Roses et Baobab avec un collectif de jeunes mangakas appelé les D-project. Elle a bien évolué au sein de ce groupe et arriva à monter sa première exposition en solo intitulée « Femme de nature » en 2016. Voulant toujours élargir son domaine et être en accord avec son temps, l’artiste se consacrait entièrement au dessin digital. Elle recevait de plus en plus de demandes lui permettant de faire de sa passion un véritable métier. Actuellement, Vanii Suki s’essaie au Street art, à la sculpture en papier mâché. Il lui arrive parfois de revenir au dessin traditionnel en explorant des thèmes et inspirations récurrents liés à l’imaginaire et au monde magique.
L’artiste visuel Vanii Suki s’épanouit professionnellement en faisant de sa passion un véritable métier. La jeune femme puise sa force dans la petite enfant qui sommeille en elle. Tseheno Sandaniaina Vaninah Seraphine alias Vanii Suki mène sa carrière sans trop prendre la tête. Son caractère simple et discret avec sa bouille de manga lui donne un air d’éternelle petite fille. La femmeenfant excelle bien dans son domaine, l’art visuel. Sa signature a accompagné les illustrations du magazine mensuel No Comment pendant plusieurs numéros. Ses œuvres se distinguent par des traits plutôt enfantins mélangeant humour et réalité. Elle les réalise avec une bonne maîtrise des techniques utilisées par les bons professionnels. Vanii Suki sait faire du Character design, du Background, et du Story Board. Elle vit de sa passion, un rêve qui l’a bercé depuis toute petite. « Dès mon jeune âge, je suis fascinée par les dessins animés et les histoires de mon enfance. Je crois que cela m’a guidée vers le troisième art. Je m’inspirais de l’ univers magique de Harry Potter, Peter Pan, des Disney, ou encore des animations du studio Ghibli », avoue-t-elle. Projets en gestation Avec Mat Li, un autre artiste, Vanii Suki compte faire un petit business de goodies illustré. Elle prépare également avec les Malagasy Potterheads une exposition qui se tiendra du 19 au 31 octobre prochain au centre culturel du Tour Sahavola ou l'IKM à Antsahavola. Illustratrice de profession Vanii Suki a forgé ses armes chez Roses et Baobab avec un collectif de jeunes mangakas appelé les D-project. Elle a bien évolué au sein de ce groupe et arriva à monter sa première exposition en solo intitulée « Femme de nature » en 2016. Voulant toujours élargir son domaine et être en accord avec son temps, l’artiste se consacrait entièrement au dessin digital. Elle recevait de plus en plus de demandes lui permettant de faire de sa passion un véritable métier. Actuellement, Vanii Suki s’essaie au Street art, à la sculpture en papier mâché. Il lui arrive parfois de revenir au dessin traditionnel en explorant des thèmes et inspirations récurrents liés à l’imaginaire et au monde magique.