Les exportations malgaches demeurent orientées vers l’Union européenne mais en 2015, celles-ci ont enregistré une baisse. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Les exportations malgaches en 2015 se tournent essentiellement vers l’Europe. Toutefois celles-ci ont enregistré une baisse en 2015 par rapport à la performance enregistrée en 2014. La montée en puissance des exportations vers les États-Unis a, en quelque sorte, impacté les échanges commerciaux entre la Grande île et le Vieux continent. Selon les chiffres publiés par le service économique de l’ambassade de France à Madagascar, « en 2015, 41% des exportations malgaches se sont dirigées vers l’Union européenne soit une baisse de 4.3 points par rapport à l’année 2014. Tandis que les exportations vers la zone de Coopération économique pour l'Asie-Pacifique (APEC) ont enregistré une hausse de 36% soit 2.5 points, et 12% vers l’Asie émergente et en développement et 9% vers l’Afrique ». Horizon américain Cette tendance semble être confirmée pour cette année 2016. Les chiffres publiés par le service des douanes placent encore l’Union européenne comme le premier client de Madagascar. Les échanges commerciaux entre l’Europe et la Grande île ont atteint les 1134,6 milliards ariary durant les cinq premiers mois de l’année. Le textile, les épices, les fruits et légumes, les huiles essentielles ainsi que les fruits de mer sont les produits très demandés sur le marché européen. Ces produits sont exportés essentiellement vers la France. Selon toujours ce rapport, « La France demeure le premier client historique des exportations malgaches avec 15,2% de part de marché, mais celle-ci se réduit rapidement, tandis que celle des États-Unis progresse avec 12,7%, notamment grâce à la réintégration de Madagascar dans le cercle des pays bénéficiaire de la loi Africa growth opportunity act (Agoa) ». Ce rapport révèle toutefois qu’en 2015, les échanges commerciaux avec l’Hexagone ont atteint les 347,2 millions d’euros et 240 millions d’euros pour le marché américain. Tandis que pour la Chine, les volumes d’échanges commerciaux avec le pays ont enregistré la valeur de 161,5 millions d’euros. Lova Rafidiarisoa
Les exportations malgaches demeurent orientées vers l’Union européenne mais en 2015, celles-ci ont enregistré une baisse. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Les exportations malgaches en 2015 se tournent essentiellement vers l’Europe. Toutefois celles-ci ont enregistré une baisse en 2015 par rapport à la performance enregistrée en 2014. La montée en puissance des exportations vers les États-Unis a, en quelque sorte, impacté les échanges commerciaux entre la Grande île et le Vieux continent. Selon les chiffres publiés par le service économique de l’ambassade de France à Madagascar, « en 2015, 41% des exportations malgaches se sont dirigées vers l’Union européenne soit une baisse de 4.3 points par rapport à l’année 2014. Tandis que les exportations vers la zone de Coopération économique pour l'Asie-Pacifique (APEC) ont enregistré une hausse de 36% soit 2.5 points, et 12% vers l’Asie émergente et en développement et 9% vers l’Afrique ». Horizon américain Cette tendance semble être confirmée pour cette année 2016. Les chiffres publiés par le service des douanes placent encore l’Union européenne comme le premier client de Madagascar. Les échanges commerciaux entre l’Europe et la Grande île ont atteint les 1134,6 milliards ariary durant les cinq premiers mois de l’année. Le textile, les épices, les fruits et légumes, les huiles essentielles ainsi que les fruits de mer sont les produits très demandés sur le marché européen. Ces produits sont exportés essentiellement vers la France. Selon toujours ce rapport, « La France demeure le premier client historique des exportations malgaches avec 15,2% de part de marché, mais celle-ci se réduit rapidement, tandis que celle des États-Unis progresse avec 12,7%, notamment grâce à la réintégration de Madagascar dans le cercle des pays bénéficiaire de la loi Africa growth opportunity act (Agoa) ». Ce rapport révèle toutefois qu’en 2015, les échanges commerciaux avec l’Hexagone ont atteint les 347,2 millions d’euros et 240 millions d’euros pour le marché américain. Tandis que pour la Chine, les volumes d’échanges commerciaux avec le pays ont enregistré la valeur de 161,5 millions d’euros. Lova Rafidiarisoa