Selon un nouveau communiqué d'hier, l’Observatoire volcanologique du piton de la Fournaise (OVPF) indique que le front de coulée de l’éruption de mardi matin se trouvait en fin de nuit vers 1200-1300 mètres d’altitude. Évaluation fondée sur le témoignage de la caméra des scientifiques braquée sur le Grand-Brûlé et les pentes du volcan, car aucun survol n’a été possible ce jour. Les coulées, selon cette analyse, se situeraient donc à encore quelques centaines de mètres du cassé des Grandes pentes, qui débutent vers 1100 mètres d’altitude dans cette zone. Vont-elles poursuivre leur progression ? Tout dépendra de l’activité éruptive évidemment. Les scientifiques précisent à ce sujet: «L’intensité du trémor éruptif (témoin de l’intensité de l’éruption) se maintient à un niveau relativement constant depuis 24h», précise l’OVPF. © JIR
Selon un nouveau communiqué d'hier, l’Observatoire volcanologique du piton de la Fournaise (OVPF) indique que le front de coulée de l’éruption de mardi matin se trouvait en fin de nuit vers 1200-1300 mètres d’altitude. Évaluation fondée sur le témoignage de la caméra des scientifiques braquée sur le Grand-Brûlé et les pentes du volcan, car aucun survol n’a été possible ce jour. Les coulées, selon cette analyse, se situeraient donc à encore quelques centaines de mètres du cassé des Grandes pentes, qui débutent vers 1100 mètres d’altitude dans cette zone. Vont-elles poursuivre leur progression ? Tout dépendra de l’activité éruptive évidemment. Les scientifiques précisent à ce sujet: «L’intensité du trémor éruptif (témoin de l’intensité de l’éruption) se maintient à un niveau relativement constant depuis 24h», précise l’OVPF. © JIR