2020 constitue la dernière année du mandat d’Ahmad, à la tête de la Confédération Africaine de Football. Une dernière année qui s’annonce chargée, vu le calendrier des compétitions. « Pour 2020, il y aura les qualifications de la CAN et les qualifications du Mondial. Il y a le CHAN également. Il y aura les compétitions de jeunes. Et il y aura la CAN féminine, qui passe de huit équipes à douze », énumère le président de la CAF, au micro de RFI. Après trois ans passés à diriger la Confédération, il dresse un bilan positif par rapport à sa vision : « Mon challenge était le changement. Et aujourd’hui, beaucoup de choses ont évolué. » Dans un certain sens, il s’agira de chercher à boucler son premier mandat sur une bonne note. Et ce, après une année 2019 mouvementée. La réussite de la Coupe d’Afrique des Nations à vingt-quatre nations ayant contrasté avec le scandale de son interpellation à Paris et des accusations de corruption. Ces faits ont, d’ailleurs, conduit le patron du football africain à demander le soutien de la FIFA. D’où audit engagé par l’instance mère auprès de la CAF et dirigé par la secrétaire générale, Fatma Samoura. « Il y aura un rapport d’évaluation. Le comité exécutif analysera, avec la FIFA, pour prendre des décisions. Mais en tout cas, d’une manière générale, ça a apporté beaucoup », souligne-t-il à ce propos. Ahmad a été élu à la tête de la Confédération en mars 2017. Et ce, après avoir battu le président en place, Issa Hayatou. À l’entame de cette dernière année de son mandat, il ne s’est pas encore prononcé officiellement, s’il va se présenter ou non à sa propre succession, lors du prochain scrutin.
2020 constitue la dernière année du mandat d’Ahmad, à la tête de la Confédération Africaine de Football. Une dernière année qui s’annonce chargée, vu le calendrier des compétitions. « Pour 2020, il y aura les qualifications de la CAN et les qualifications du Mondial. Il y a le CHAN également. Il y aura les compétitions de jeunes. Et il y aura la CAN féminine, qui passe de huit équipes à douze », énumère le président de la CAF, au micro de RFI. Après trois ans passés à diriger la Confédération, il dresse un bilan positif par rapport à sa vision : « Mon challenge était le changement. Et aujourd’hui, beaucoup de choses ont évolué. » Dans un certain sens, il s’agira de chercher à boucler son premier mandat sur une bonne note. Et ce, après une année 2019 mouvementée. La réussite de la Coupe d’Afrique des Nations à vingt-quatre nations ayant contrasté avec le scandale de son interpellation à Paris et des accusations de corruption. Ces faits ont, d’ailleurs, conduit le patron du football africain à demander le soutien de la FIFA. D’où audit engagé par l’instance mère auprès de la CAF et dirigé par la secrétaire générale, Fatma Samoura. « Il y aura un rapport d’évaluation. Le comité exécutif analysera, avec la FIFA, pour prendre des décisions. Mais en tout cas, d’une manière générale, ça a apporté beaucoup », souligne-t-il à ce propos. Ahmad a été élu à la tête de la Confédération en mars 2017. Et ce, après avoir battu le président en place, Issa Hayatou. À l’entame de cette dernière année de son mandat, il ne s’est pas encore prononcé officiellement, s’il va se présenter ou non à sa propre succession, lors du prochain scrutin.