Se regardant en chiens de faïence depuis longtemps, en raison de différends et de défiance poussés à l’extrême, deux groupes de jeunes se sont donnés rendez-vous pour se battre. Un mort et cinq blessés sont dénombrés. Rixe meurtrière entre factions de jeunes à Ambilobe. Le bilan fait état d’un mort et de cinq blessés. Dans l’après-midi d’avant-hier, deux meutes de jeunes, rassemblées respectivement dans les villages d’Antafiakatsaka et de Matiakoho, ont décidé de régler leurs comptes à couteaux tirés. Dimanche après-midi, des jeunes gens prêts à en découdre, se chiffrant par dizaine dans chaque camp, se sont alors donnés rendez-vous sur un banc de sable perdu du fleuve Mahavavy pour s’affronter. De source auprès de la gendarmerie nationale, ces jeunes se sont isolés à l’écart des agglomérations. Lorsque les affrontements armés ont éclaté, un jeune du camp de Matiakoho est mort poignardé. Des blessés dont l’état était préoccupant ont été, pour leur part, portés par leurs compagnons jusqu’à la ville d’Ambilobe en empruntant les rives du fleuve Mahavavy afin d’être conduits à l’hôpital. Les jeunes impliqués dans cette bagarre meurtrière sont âgés d’entre quinze et vingt ans. D’après les informations recueillies, des différends mêlés de défiance couvaient depuis un certain temps entre ces jeunes.
Se regardant en chiens de faïence depuis longtemps, en raison de différends et de défiance poussés à l’extrême, deux groupes de jeunes se sont donnés rendez-vous pour se battre. Un mort et cinq blessés sont dénombrés. Rixe meurtrière entre factions de jeunes à Ambilobe. Le bilan fait état d’un mort et de cinq blessés. Dans l’après-midi d’avant-hier, deux meutes de jeunes, rassemblées respectivement dans les villages d’Antafiakatsaka et de Matiakoho, ont décidé de régler leurs comptes à couteaux tirés. Dimanche après-midi, des jeunes gens prêts à en découdre, se chiffrant par dizaine dans chaque camp, se sont alors donnés rendez-vous sur un banc de sable perdu du fleuve Mahavavy pour s’affronter. De source auprès de la gendarmerie nationale, ces jeunes se sont isolés à l’écart des agglomérations. Lorsque les affrontements armés ont éclaté, un jeune du camp de Matiakoho est mort poignardé. Des blessés dont l’état était préoccupant ont été, pour leur part, portés par leurs compagnons jusqu’à la ville d’Ambilobe en empruntant les rives du fleuve Mahavavy afin d’être conduits à l’hôpital. Les jeunes impliqués dans cette bagarre meurtrière sont âgés d’entre quinze et vingt ans. D’après les informations recueillies, des différends mêlés de défiance couvaient depuis un certain temps entre ces jeunes.