C’est devant deux cents étudiants et jeunes entrepreneurs rassemblés à l’Amphithéâtre de l’Inscae que le programme Fihariana est évoqué. Soutien à l’entrepreneuriat des jeunes. C’est afin d’inculquer la culture entrepreneuriale aux jeunes que quatre intervenants sont venus à l’amphithéâtre de l’INSCAE aux 67 ha pour parler du programme Fihariana et de l’importance de l’entrepreneuriat. En trois heures d’intervention au total face à deux cents jeunes et étudiants, la possibilité d’entreprendre est expliquée. Hanta Rakotovao, responsable plateforme PME auprès de la BNI ainsi que sa collègue Fanja Rakotondratrimo, responsable convention et partenariats auprès de la même banque ont parlé de la participation de la BNI à l’octroi de financements aux bénéficiaires du programme Fihariana. L’intervention des deux dames est suivie de celle du responsable jeunesse et entrepreneuriat auprès du Fivmpama, Mino Andria mijoro et de celle de Jacques Rakotoson, président de la commission en charge des relations avec les établissements d’enseignement et de formation au sein du Fivmpama. Les questions de l’auditoire se sont, notamment, basées sur la chance d’obtenir un financement par rapport à un projet entrepreneurial imaginé. « Deux cent milliards d’ariary sont consacrés par l’État pour mettre en œuvre le programme Fihariana destiné à encourager tout le monde à entreprendre. La BNI participe à l’octroi de prêts aux projets sélectionnés », affirme Hanta Rakotovao. « C’est justement cette caution morale, autrement dit les conseils et accompagnements utiles aux entrepreneurs naissants, qui constitue l’œuvre du Fivmpama dans l’organisation de cette conférence. Il faut rappeler que c’est toujours en réseau et en se mettant en relations avec ceux qui ont la fibre entrepreneuriale qu’un entrepreneur réussit. On ne peut pas s’aventurer seul, il faut profiter de l’assistance des entrepreneurs qui connaissent le milieu et qui peuvent suffisamment orienter », selon Andrianavalomanana Razafiarison, président du Fivondronan’ny Mpandra haraha Malagasy ou Fivmpama, dans sa prise de parole. Décision « Ici à Madagascar, nous avons la capacité intellectuelle, nous avons la force et la connaissance et tout ce qu’il y a de mieux pour nous faire décider à entreprendre dès maintenant », interpelle Jacques Rakotoson. « C’est dans sa participation à l’orientation des jeunes vers l’entrepreneuriat que l’INSCAE accepte d’héberger la conférence. D’ailleurs, un programme existant qu’est le Fihariana est un moyen pour les jeunes de concrétiser leurs initiatives entrepreneuriales. L’entrepreneuriat, c’est l’unique voie permettant de créer de l’emploi pour soi-même et pour d’autres personnes et le Fihariana est conçu pour insuffler cette démarche », d’après Harimino Rakoto, directrice générale de l’Inscae. C’est aux jeunes présents à la conférence que les étapes pour concevoir des projets susceptibles de financements à travers le Fihariana sont expliquées en détails.
C’est devant deux cents étudiants et jeunes entrepreneurs rassemblés à l’Amphithéâtre de l’Inscae que le programme Fihariana est évoqué. Soutien à l’entrepreneuriat des jeunes. C’est afin d’inculquer la culture entrepreneuriale aux jeunes que quatre intervenants sont venus à l’amphithéâtre de l’INSCAE aux 67 ha pour parler du programme Fihariana et de l’importance de l’entrepreneuriat. En trois heures d’intervention au total face à deux cents jeunes et étudiants, la possibilité d’entreprendre est expliquée. Hanta Rakotovao, responsable plateforme PME auprès de la BNI ainsi que sa collègue Fanja Rakotondratrimo, responsable convention et partenariats auprès de la même banque ont parlé de la participation de la BNI à l’octroi de financements aux bénéficiaires du programme Fihariana. L’intervention des deux dames est suivie de celle du responsable jeunesse et entrepreneuriat auprès du Fivmpama, Mino Andria mijoro et de celle de Jacques Rakotoson, président de la commission en charge des relations avec les établissements d’enseignement et de formation au sein du Fivmpama. Les questions de l’auditoire se sont, notamment, basées sur la chance d’obtenir un financement par rapport à un projet entrepreneurial imaginé. « Deux cent milliards d’ariary sont consacrés par l’État pour mettre en œuvre le programme Fihariana destiné à encourager tout le monde à entreprendre. La BNI participe à l’octroi de prêts aux projets sélectionnés », affirme Hanta Rakotovao. « C’est justement cette caution morale, autrement dit les conseils et accompagnements utiles aux entrepreneurs naissants, qui constitue l’œuvre du Fivmpama dans l’organisation de cette conférence. Il faut rappeler que c’est toujours en réseau et en se mettant en relations avec ceux qui ont la fibre entrepreneuriale qu’un entrepreneur réussit. On ne peut pas s’aventurer seul, il faut profiter de l’assistance des entrepreneurs qui connaissent le milieu et qui peuvent suffisamment orienter », selon Andrianavalomanana Razafiarison, président du Fivondronan’ny Mpandra haraha Malagasy ou Fivmpama, dans sa prise de parole. Décision « Ici à Madagascar, nous avons la capacité intellectuelle, nous avons la force et la connaissance et tout ce qu’il y a de mieux pour nous faire décider à entreprendre dès maintenant », interpelle Jacques Rakotoson. « C’est dans sa participation à l’orientation des jeunes vers l’entrepreneuriat que l’INSCAE accepte d’héberger la conférence. D’ailleurs, un programme existant qu’est le Fihariana est un moyen pour les jeunes de concrétiser leurs initiatives entrepreneuriales. L’entrepreneuriat, c’est l’unique voie permettant de créer de l’emploi pour soi-même et pour d’autres personnes et le Fihariana est conçu pour insuffler cette démarche », d’après Harimino Rakoto, directrice générale de l’Inscae. C’est aux jeunes présents à la conférence que les étapes pour concevoir des projets susceptibles de financements à travers le Fihariana sont expliquées en détails.