« Certaines lacunes sont parfois observées au niveau de l’application des décisions sur la gestion des affaires publiques ». Ces propos sont de Mahamoudou Ndriandahy du mouvement Rohy en marge d’une rencontre avec la presse à Antaninarenina, hier. Le mouvement Rohy a illustré certaines décisions dont il estime qu’il devrait y avoir une consultation à la base avant leur mise en œuvre. En partant par les actualités majeures qui se sont passées dans la société récemment, la société civile a interpellé l’État d’élargir le dialogue avec les parties prenantes concernées par le projet envisagé entre autres. « La communauté de base devrait être prise en considération avant la prise de décisions pour éviter la confusion dont les conséquences heurtent les intérêts de la population. C’est le cas entre autres des fuites de sujet au baccalauréat où les acteurs concernés devraient être avisés de la session spéciale », indique ce membre de mouvement Rohy. Dans son communiqué, la société civile a soulevé également la manière dont les gouverneurs de régions ont été nommés.
« Certaines lacunes sont parfois observées au niveau de l’application des décisions sur la gestion des affaires publiques ». Ces propos sont de Mahamoudou Ndriandahy du mouvement Rohy en marge d’une rencontre avec la presse à Antaninarenina, hier. Le mouvement Rohy a illustré certaines décisions dont il estime qu’il devrait y avoir une consultation à la base avant leur mise en œuvre. En partant par les actualités majeures qui se sont passées dans la société récemment, la société civile a interpellé l’État d’élargir le dialogue avec les parties prenantes concernées par le projet envisagé entre autres. « La communauté de base devrait être prise en considération avant la prise de décisions pour éviter la confusion dont les conséquences heurtent les intérêts de la population. C’est le cas entre autres des fuites de sujet au baccalauréat où les acteurs concernés devraient être avisés de la session spéciale », indique ce membre de mouvement Rohy. Dans son communiqué, la société civile a soulevé également la manière dont les gouverneurs de régions ont été nommés.