Candidat à la présidentielle présenté par le parti RDS, maître Mamy Radilofe mise sur le rétablissement de l’État de droit pour redresser le pays. Voulant mettre la loi au centre de la gouvernance il veut que tout Malgache puisse jouir pleinement de ses droits. • Qui est le candidat Radilofe ? - Effectivement, j’estime que tous les Malgaches méritent de connaître tous les candidats. Maître Radilofe est un avocat, fils d’un avocat, issue d’une famille d’avocats. J’ai été éduqué dans le droit depuis mon enfance, mon fils est avocat stagiaire et mes filles sont étudiantes en droit. J’ai été conseiller suppléant et conseiller titulaire au sein du conseil de l’ordre des avocats. J’ai aussi postulé pour la candidature au bâtonnat de Madagascar où je suis sorti avec un score plus qu’honorable. Mon hobby c’est le sport, j’ai aussi, été éduqué dans le sport. Le tennis, notamment, est ma passion et ma famille évolue, aussi, dans ce sport dont ma dernière fille qui va partir pour le championnat d’Afrique. • Qu’en est-il de votre parcours politique ? - Je suis surtout connu dans le monde politique pour mes activités d’avocat, parce que j’ai défendu certaines causes et des personnes dont certaines sont aujourd’hui mes concurrents à la présidentielle. Je n’ai jamais adhéré à un parti politique et quand-même ai-je défendu des politiciens je n’ai aucun lien hiérarchique avec eux. Je suis tout à fait libre de mes actions. • Méconnu, voir novice en politique, pourquoi tout de suite prétendre à être Président de la République ? - Je mettrais le terme novice entre guillemets, car je connais quand même les arcanes de la politique étant moi-même défendeur de ces personnes et citoyen de Madagascar. Je ne me dirais pas novice, je connais les arcanes, je connais les manières, mais par contre, peut-être que mes faiblesses deviendront mes atouts. Je n’ai jamais touché à l’administration publique. Les moyens que j’apporte pour faire ma politique sont des moyens personnels et ce sont mes convictions qui m’ont amené à participer à cette course. • N’avoir jamais touché à l’administration publique ne serait-elle pas une faiblesse. Un Président de la République ne devrait-il pas connaître l’administration, justement ? - Quand je dis que je n’y ai jamais touché, ce n’est pas que je n’ai pas eu de poste à responsabilité. J’ai déjà été conseiller technique non permanent dans certains ministères dont celui de la Jeunesse et des sports. Je sais comment çà fonctionne, je connais les organigrammes et les attributions. Je voudrais ajouter que la fonction de Président de la République est précisée dans la Constitution que j’ai pris le temps de bien lire. Je pense que je peux être ce Président là, parce que, justement, je connais cette mission et je ne dépasserais pas la mission précisée dans cette Constitution. • Connaître la mission du Président suffit-il pour être à même d’assumer cette fonction, justement quand on fait ses premiers pas dans la politique ? - Je ne fais pas mes premiers pas dans la politique. Je suis inconnu politiquement, mais je connais la politique. D’aucuns pensent qu’on est opposé à des expérimentés en politique, ils sont tous là. On sait où est Madagascar aujourd’hui. Les spécialistes en politique qui ont conduit Madagascar là où il est, sont tous là. Mais qu’en est-il de la bonne gouvernance ? Qu’en est-il de l’État de droit ? A-t-on besoin de ces personnes spécialisées en politique pour appliquer l’État de droit ? C’est justement la violation de l’État de droit qui est la source du mal dont souffre ce pays.
Candidat à la présidentielle présenté par le parti RDS, maître Mamy Radilofe mise sur le rétablissement de l’État de droit pour redresser le pays. Voulant mettre la loi au centre de la gouvernance il veut que tout Malgache puisse jouir pleinement de ses droits. • Qui est le candidat Radilofe ? - Effectivement, j’estime que tous les Malgaches méritent de connaître tous les candidats. Maître Radilofe est un avocat, fils d’un avocat, issue d’une famille d’avocats. J’ai été éduqué dans le droit depuis mon enfance, mon fils est avocat stagiaire et mes filles sont étudiantes en droit. J’ai été conseiller suppléant et conseiller titulaire au sein du conseil de l’ordre des avocats. J’ai aussi postulé pour la candidature au bâtonnat de Madagascar où je suis sorti avec un score plus qu’honorable. Mon hobby c’est le sport, j’ai aussi, été éduqué dans le sport. Le tennis, notamment, est ma passion et ma famille évolue, aussi, dans ce sport dont ma dernière fille qui va partir pour le championnat d’Afrique. • Qu’en est-il de votre parcours politique ? - Je suis surtout connu dans le monde politique pour mes activités d’avocat, parce que j’ai défendu certaines causes et des personnes dont certaines sont aujourd’hui mes concurrents à la présidentielle. Je n’ai jamais adhéré à un parti politique et quand-même ai-je défendu des politiciens je n’ai aucun lien hiérarchique avec eux. Je suis tout à fait libre de mes actions. • Méconnu, voir novice en politique, pourquoi tout de suite prétendre à être Président de la République ? - Je mettrais le terme novice entre guillemets, car je connais quand même les arcanes de la politique étant moi-même défendeur de ces personnes et citoyen de Madagascar. Je ne me dirais pas novice, je connais les arcanes, je connais les manières, mais par contre, peut-être que mes faiblesses deviendront mes atouts. Je n’ai jamais touché à l’administration publique. Les moyens que j’apporte pour faire ma politique sont des moyens personnels et ce sont mes convictions qui m’ont amené à participer à cette course. • N’avoir jamais touché à l’administration publique ne serait-elle pas une faiblesse. Un Président de la République ne devrait-il pas connaître l’administration, justement ? - Quand je dis que je n’y ai jamais touché, ce n’est pas que je n’ai pas eu de poste à responsabilité. J’ai déjà été conseiller technique non permanent dans certains ministères dont celui de la Jeunesse et des sports. Je sais comment çà fonctionne, je connais les organigrammes et les attributions. Je voudrais ajouter que la fonction de Président de la République est précisée dans la Constitution que j’ai pris le temps de bien lire. Je pense que je peux être ce Président là, parce que, justement, je connais cette mission et je ne dépasserais pas la mission précisée dans cette Constitution. • Connaître la mission du Président suffit-il pour être à même d’assumer cette fonction, justement quand on fait ses premiers pas dans la politique ? - Je ne fais pas mes premiers pas dans la politique. Je suis inconnu politiquement, mais je connais la politique. D’aucuns pensent qu’on est opposé à des expérimentés en politique, ils sont tous là. On sait où est Madagascar aujourd’hui. Les spécialistes en politique qui ont conduit Madagascar là où il est, sont tous là. Mais qu’en est-il de la bonne gouvernance ? Qu’en est-il de l’État de droit ? A-t-on besoin de ces personnes spécialisées en politique pour appliquer l’État de droit ? C’est justement la violation de l’État de droit qui est la source du mal dont souffre ce pays.