Un vol suivi de meurtre a été perpétré au nez et à la barbe de plusieurs témoins oculaires à Ambatomaro. La victime gérait un « cash point » dans le quartier. Une scène d’horreur laisse pétrifiés plusieurs témoins, à Ambatomaro, samedi soir. Le sang a coulé. Il s’est passé un vol à main armée aggravé de meurtre, l’œuvre de deux bandits. La responsable d’un « cash point» installé près du terminus de la ligne 147 est tombée sous leurs balles. « Cela a eu lieu peu avant 20 heures. Les malfaiteurs ont apparemment suivi leur cible depuis son kiosque. Elle allait vers sa sœur, commerçante, non loin de là, en face d’un bar où il y avait encore beaucoup de clients en train de boire », raconte un riverain bouleversé. Des badauds ne se doutaient de rien quand les scélérats ont soudainement arraché à la femme son sac contenant son argent. L’un a tiré sur elle. Ils ont opéré à une vitesse effrayante. L’acte s’est passé très rapidement, comme le raconte le voisinage. Pourtant, cela a paru durer une heure pour certains, car même ceux, les plus près de la victime, étaient sans voix, impuissants et entièrement paralysés.
Un vol suivi de meurtre a été perpétré au nez et à la barbe de plusieurs témoins oculaires à Ambatomaro. La victime gérait un « cash point » dans le quartier. Une scène d’horreur laisse pétrifiés plusieurs témoins, à Ambatomaro, samedi soir. Le sang a coulé. Il s’est passé un vol à main armée aggravé de meurtre, l’œuvre de deux bandits. La responsable d’un « cash point» installé près du terminus de la ligne 147 est tombée sous leurs balles. « Cela a eu lieu peu avant 20 heures. Les malfaiteurs ont apparemment suivi leur cible depuis son kiosque. Elle allait vers sa sœur, commerçante, non loin de là, en face d’un bar où il y avait encore beaucoup de clients en train de boire », raconte un riverain bouleversé. Des badauds ne se doutaient de rien quand les scélérats ont soudainement arraché à la femme son sac contenant son argent. L’un a tiré sur elle. Ils ont opéré à une vitesse effrayante. L’acte s’est passé très rapidement, comme le raconte le voisinage. Pourtant, cela a paru durer une heure pour certains, car même ceux, les plus près de la victime, étaient sans voix, impuissants et entièrement paralysés.