Depuis le début de la semaine passée, quelques quartiers dans la commune urbaine de Taolagnaro font face à un problème de distribution d’eau. Principalement à Antaninarenina, Ampasikabo et Ambinanikely. Les habitants doivent se lever vers minuit pour s’approvisionner en eau. Les besoins en tonneaux et en jerricans augmentent, de ce fait. « L’eau commence à couler à partir de minuit jusqu’à deux ou trois heures du matin », déclare un habitant d’Ampasikabo. Il est constaté que tous les ans, entre septembre et octobre, la ville de Taolagnaro subit le même problème. La raison évoquée depuis des années est le faible débit dû à la vétusté du matériel. Les habitants dénoncent, toutefois, l’irresponsabilité de la Jirama face à la situation. « Aucun communiqué ni par radio ni par affichage pour informer le public de ce problème», fustigent-ils. Par ailleurs, une coupure d’électricité tous les deux jours se produit aussi dans la ville réputée sans délestage. Chaque coupure dure au moins deux heures. «Jeudi, la coupure s’est fait tous les trente minutes en une journée. Et, hier toutes les deux heures », déplore Solofo, un habitant d’Antaninarenina. Faute d’explication de la part de la société responsable, des rumeurs circulent sur des câbles volés et des fils électriques coupés par le vent qui soufflait fort depuis le début du mois.
Depuis le début de la semaine passée, quelques quartiers dans la commune urbaine de Taolagnaro font face à un problème de distribution d’eau. Principalement à Antaninarenina, Ampasikabo et Ambinanikely. Les habitants doivent se lever vers minuit pour s’approvisionner en eau. Les besoins en tonneaux et en jerricans augmentent, de ce fait. « L’eau commence à couler à partir de minuit jusqu’à deux ou trois heures du matin », déclare un habitant d’Ampasikabo. Il est constaté que tous les ans, entre septembre et octobre, la ville de Taolagnaro subit le même problème. La raison évoquée depuis des années est le faible débit dû à la vétusté du matériel. Les habitants dénoncent, toutefois, l’irresponsabilité de la Jirama face à la situation. « Aucun communiqué ni par radio ni par affichage pour informer le public de ce problème», fustigent-ils. Par ailleurs, une coupure d’électricité tous les deux jours se produit aussi dans la ville réputée sans délestage. Chaque coupure dure au moins deux heures. «Jeudi, la coupure s’est fait tous les trente minutes en une journée. Et, hier toutes les deux heures », déplore Solofo, un habitant d’Antaninarenina. Faute d’explication de la part de la société responsable, des rumeurs circulent sur des câbles volés et des fils électriques coupés par le vent qui soufflait fort depuis le début du mois.