Obscène. Un massage a tourné à une agression sexuelle, le jeudi 6 août, à Tanandava Imerimandroso, dans le district d’Ambatondrazaka. L’auteur, un thérapeute renommé, âgé de 48 ans, a été placé sous mandat de dépôt après avoir été traduit devant le ministère public, hier. La gendarmerie a été saisie de l’affaire. D’après ses informations, la victime était une jeune fille, âgée de 14 ans, en classe de quatrième. Suite à une chute la semaine passée, elle est venue consulter le quadragénaire. Sa famille n’a pas hésité à la laisser y aller puisqu’elle le connaît très bien, pour sa réputation. Elle n’avait rien pressenti en arrivant chez lui. Pourtant le masseur l’avait contrainte à un rapport sexuel. Selon les explications de la gendarmerie, cet enfant n’a pas appelé au secours. Elle s’est mise à pleurer , arrivée à la maison. Elle a avoué les faits à sa mère. Mise en détention Elles sont toutes les deux allées voir un médecin qui a attesté un viol à l’issue d’un contrôle. Sur le moment, elles ont rejoint le poste de la gendarmerie pour déposer plainte. Les forces de l’ordre se sont rendues à Tanandava le week-end pour interpeller le présumé violeur. Ce dernier s’est facilement fait cueillir chez lui. Lors de son interrogatoire, le quadragénaire a nié jusqu’au bout les faits pour lesquels il est reproché. Or, le rapport d’examen médical certifie qu’il y a eu violence sexuelle. Au terme de son enquête, il a été livré au parquet dont la citation était sa mise en détention préventive en attendant le jour où il comparaîtra à la barre du tribunal de première instance (TPI) d’Ambatondrazaka. « Le viol sur mineur est une pratique criminelle et une souffrance intolérable, une atteinte directe à la dignité et aux droits les plus fondamentaux de l’enfant », rappelle un magistrat du parquet au sein du TPI informé du dossier. « Outre le crime sexuel, le litige entre habitants est une affaire très récurrente à Imerimandroso », révèle la gendarmerie locale.
Obscène. Un massage a tourné à une agression sexuelle, le jeudi 6 août, à Tanandava Imerimandroso, dans le district d’Ambatondrazaka. L’auteur, un thérapeute renommé, âgé de 48 ans, a été placé sous mandat de dépôt après avoir été traduit devant le ministère public, hier. La gendarmerie a été saisie de l’affaire. D’après ses informations, la victime était une jeune fille, âgée de 14 ans, en classe de quatrième. Suite à une chute la semaine passée, elle est venue consulter le quadragénaire. Sa famille n’a pas hésité à la laisser y aller puisqu’elle le connaît très bien, pour sa réputation. Elle n’avait rien pressenti en arrivant chez lui. Pourtant le masseur l’avait contrainte à un rapport sexuel. Selon les explications de la gendarmerie, cet enfant n’a pas appelé au secours. Elle s’est mise à pleurer , arrivée à la maison. Elle a avoué les faits à sa mère. Mise en détention Elles sont toutes les deux allées voir un médecin qui a attesté un viol à l’issue d’un contrôle. Sur le moment, elles ont rejoint le poste de la gendarmerie pour déposer plainte. Les forces de l’ordre se sont rendues à Tanandava le week-end pour interpeller le présumé violeur. Ce dernier s’est facilement fait cueillir chez lui. Lors de son interrogatoire, le quadragénaire a nié jusqu’au bout les faits pour lesquels il est reproché. Or, le rapport d’examen médical certifie qu’il y a eu violence sexuelle. Au terme de son enquête, il a été livré au parquet dont la citation était sa mise en détention préventive en attendant le jour où il comparaîtra à la barre du tribunal de première instance (TPI) d’Ambatondrazaka. « Le viol sur mineur est une pratique criminelle et une souffrance intolérable, une atteinte directe à la dignité et aux droits les plus fondamentaux de l’enfant », rappelle un magistrat du parquet au sein du TPI informé du dossier. « Outre le crime sexuel, le litige entre habitants est une affaire très récurrente à Imerimandroso », révèle la gendarmerie locale.