Sur le qui-vive. Stupeur et interrogation, samedi et même vendredi, chez les habitants d’Antananarivo. Les éléments de l’État-major mixte opérationnel (EMMO) ont marqué de leur présence la plupart des quartiers populaires et commerciaux de la capitale. « C’est en raison de la session des parlementaires francophones qui se tient actuellement dans la capitale. Il ne faut pas, non plus, oublier les attentats du 26 juin, qui ont motivé le renforcement des mesures de sécurité, surtout, qu’avec ce rendez-vous international, nous accueillons dans nos murs plusieurs dignitaires étrangers », explique une source auprès des forces de l’ordre. La conjoncture socio-politique relativement agitée actuellement, pourrait, aussi, en être la cause. Depuis vendredi, la vue de patrouille, à pied, d’éléments de la gendarmerie nationale, à 15 heures, dans des quartiers comme les 67 ha et Isotry a intrigué. Samedi, le dispositif a été, visiblement, renforcé car plusieurs pick-up de l’EMMO, avec des militaires équipés de fusils d’assaut, gilets pare-balles circulaient dans les rues, certains à grande vitesse. D’autres stationnaient dans des points comme Ankazomanga, ou Anosy. Au regard de ces derniers jours, l’EMMO s’est doté de nouveaux véhicules. « Nous sommes présents non seulement dans les endroits stratégiques, mais aussi, nous affichons notre présence dans les zones sensibles et populaires. C’est une mesure de sécurisation et de prévention. La session de l’assemblée des parlementaires francophones est le premier rendez-vous international sur les trois prévus cette année. Pour cette première, il est nécessaire de montrer que nous sommes prêts pour l’occasion », soutient la source contactée. G.F.R.
Sur le qui-vive. Stupeur et interrogation, samedi et même vendredi, chez les habitants d’Antananarivo. Les éléments de l’État-major mixte opérationnel (EMMO) ont marqué de leur présence la plupart des quartiers populaires et commerciaux de la capitale. « C’est en raison de la session des parlementaires francophones qui se tient actuellement dans la capitale. Il ne faut pas, non plus, oublier les attentats du 26 juin, qui ont motivé le renforcement des mesures de sécurité, surtout, qu’avec ce rendez-vous international, nous accueillons dans nos murs plusieurs dignitaires étrangers », explique une source auprès des forces de l’ordre. La conjoncture socio-politique relativement agitée actuellement, pourrait, aussi, en être la cause. Depuis vendredi, la vue de patrouille, à pied, d’éléments de la gendarmerie nationale, à 15 heures, dans des quartiers comme les 67 ha et Isotry a intrigué. Samedi, le dispositif a été, visiblement, renforcé car plusieurs pick-up de l’EMMO, avec des militaires équipés de fusils d’assaut, gilets pare-balles circulaient dans les rues, certains à grande vitesse. D’autres stationnaient dans des points comme Ankazomanga, ou Anosy. Au regard de ces derniers jours, l’EMMO s’est doté de nouveaux véhicules. « Nous sommes présents non seulement dans les endroits stratégiques, mais aussi, nous affichons notre présence dans les zones sensibles et populaires. C’est une mesure de sécurisation et de prévention. La session de l’assemblée des parlementaires francophones est le premier rendez-vous international sur les trois prévus cette année. Pour cette première, il est nécessaire de montrer que nous sommes prêts pour l’occasion », soutient la source contactée. G.F.R.