Une énième grève couve au ministère de l’Éducation nationale. Quelques syndicats affirment vouloir cesser de travailler si leurs revendications ne sont pas satisfaites. Joint au téléphone, après la réunion des syndicats des agents du département de l’Éducation, hier, Besa Rakotondrainibe, président du syndicat des travailleurs de l’éducation de Madagascar (STEM) indique qu’une semaine est donnée au ministère pour répondre aux revendications. « Nous allons entrer en grève si le ministère n’y apporte pas de réponses », a-t-il martelé. Les syndicats revendiquent, entre autres, une augmentation des indemnités de fonction, mais aussi une hausse des subventions accordées aux enseignants communautaires (FRAM). « Ces derniers ne gagnent aujourd’hui que 110 000 ariary par mois, alors que le salaire minimum est de 140 000 ariary », a souligné notre interlocuteur. Il y a quelques semaines, les enseignants avaient lancé un mouvement de grève, mais celui-ci s’est terminé aussi vite qu’il avait commencé. . H.R.
Une énième grève couve au ministère de l’Éducation nationale. Quelques syndicats affirment vouloir cesser de travailler si leurs revendications ne sont pas satisfaites. Joint au téléphone, après la réunion des syndicats des agents du département de l’Éducation, hier, Besa Rakotondrainibe, président du syndicat des travailleurs de l’éducation de Madagascar (STEM) indique qu’une semaine est donnée au ministère pour répondre aux revendications. « Nous allons entrer en grève si le ministère n’y apporte pas de réponses », a-t-il martelé. Les syndicats revendiquent, entre autres, une augmentation des indemnités de fonction, mais aussi une hausse des subventions accordées aux enseignants communautaires (FRAM). « Ces derniers ne gagnent aujourd’hui que 110 000 ariary par mois, alors que le salaire minimum est de 140 000 ariary », a souligné notre interlocuteur. Il y a quelques semaines, les enseignants avaient lancé un mouvement de grève, mais celui-ci s’est terminé aussi vite qu’il avait commencé. . H.R.