Un magasin de stockage de quincaillerie spacieux, à côté de Madauto, à Andraharo, a pris feu hier aux aurores. L’origine de cet embrasement, sans faire de victime, n’a pas été bien déterminée. Les sapeurs-pompiers d’Anosivavaka ont été alertés, exactement à 3h 53, et ont débarqué sur place à 4h 10. À leur arrivée, l’entrepôt était toujours fermé. Le propriétaire a dû le déverrouiller pour qu’ils puissent travailler. L’intérieur a été entièrement envahi par une fumée suffocante. Les hommes déployés ont alors appelé un renfort pour leur venir en aide. Dix-huit secouristes, faisant usage de trois fourgons pompe-tonne, ont mouillé leur chemise pour venir à bout de cet incendie qui a été circonscrit en une quinzaine de minutes. La police du sixième arrondissement et celle scientifique et technique y sont également venues pour enquêter. Les appareils électriques et ménagers ont été épargnés. Seuls des bois ont été consumés. Ce qui a provoqué l’importante fumée. Il n’y a eu aucune surface d’exutoire de fumée dans ce dépôt. Les sapeurs-pompiers ont donc été obligés d’arracher le toit pour le désenfumage.
Un magasin de stockage de quincaillerie spacieux, à côté de Madauto, à Andraharo, a pris feu hier aux aurores. L’origine de cet embrasement, sans faire de victime, n’a pas été bien déterminée. Les sapeurs-pompiers d’Anosivavaka ont été alertés, exactement à 3h 53, et ont débarqué sur place à 4h 10. À leur arrivée, l’entrepôt était toujours fermé. Le propriétaire a dû le déverrouiller pour qu’ils puissent travailler. L’intérieur a été entièrement envahi par une fumée suffocante. Les hommes déployés ont alors appelé un renfort pour leur venir en aide. Dix-huit secouristes, faisant usage de trois fourgons pompe-tonne, ont mouillé leur chemise pour venir à bout de cet incendie qui a été circonscrit en une quinzaine de minutes. La police du sixième arrondissement et celle scientifique et technique y sont également venues pour enquêter. Les appareils électriques et ménagers ont été épargnés. Seuls des bois ont été consumés. Ce qui a provoqué l’importante fumée. Il n’y a eu aucune surface d’exutoire de fumée dans ce dépôt. Les sapeurs-pompiers ont donc été obligés d’arracher le toit pour le désenfumage.