Valorisation du volontariat. Madagascar accueille tous les ans des volontaires en provenance de la France, au même titre que les autres îles de l’océan Indien. D’après ce qui a été présenté à la résidence de l’ambassadeur de France à Ivandry la semaine dernière, ces volontaires sont appelés à entrer en compétition dans le cadre du « Grand Prix VIE / VIA Océan Indien 2020 ». Les volontaires en poste avant le 1er novembre sont autorisés à concourir et chacun doit livrer une séquence vidéo de dix minutes au maximum pour parler de son engagement volontaire et de son expérience dans le pays d’accueil. Les deux meilleures présentations seront récompensées et un prix spécial du jury ou prix « coup de cœur » sera décerné. Travaillant en entreprise ou en administration, chaque volontaire dispose d’une année pour s’immerger soit dans les services diplomatiques français soit dans les entreprises françaises. Le Grand Prix VIE/VIA est l’occasion de faire connaître le côté particulier, instructif et enrichissant de l’expérience vécue en tant que volontaire dans un pays d’accueil dans la région océan Indien. « Les CCEF ou conseillers du commerce extérieur de la France accompagnent les volontaires dans les pays où ils entrent en activité. Classés soit VIE ou Volontaire International en Entreprise, soit VIA ou Volontaire International en Administration, les volontaires répondent à des profils souhaités par des entreprises ou administrations françaises », selon Vincent Fleury, dirigeant d’une entreprise de distribution de gaz à Madagascar et accessoirement conseiller du commerce extérieur de la France. Étapes Cinquante-et-un volontaires français sont actuellement à Madagascar et contribuent au dynamisme des échanges avec la France. L’an dernier, les lauréats du Grand Prix VIE/ VIA ont été des volontaires en poste à Madagascar. Dans le cadre de la compétition, les vidéos sont à déposer au plus tard le 23 mars de l’année prochaine , pour être visionnées par la suite par un jury composé des représentants des services économiques des Ambassades de France, des CCEF, et des agents de Business France, la structure chargée d’accompagner les opérateurs économiques français à l’étranger. Entre le 24 mars et le 10 avril, les délibérations et les notations auront lieu pour enfin aboutir à la remise officielle des prix en avril. La clarté et la qualité de la présentation dans la vidéo soumise au concours sont déterminantes et les compétiteurs doivent également fournir une rédaction sur une page se rapportant à la mission que l’on s’assigne en tant que VIE ou VIA. « 90 % des engagements volontaires conduisent à l’embauche », selon l’ambassadeur de France, Christophe Bouchard. En présence de la ministre de l’Industrie, du commerce et de l’artisanat, Lantosoa Rakotomalala, le lancement du « Grand Prix VIE/ VIA Océan Indien 2020 » a réuni les volontaires en poste ainsi que les dirigeants d’entreprise françaises à Madagascar. « Une contribution au renforcement des liens historiques entre la France et les îles de l’océan Indien » justifie l’engagement d’une volontaire interrogée sur son choix par rapport à Madagascar comme lieu de destination.
Valorisation du volontariat. Madagascar accueille tous les ans des volontaires en provenance de la France, au même titre que les autres îles de l’océan Indien. D’après ce qui a été présenté à la résidence de l’ambassadeur de France à Ivandry la semaine dernière, ces volontaires sont appelés à entrer en compétition dans le cadre du « Grand Prix VIE / VIA Océan Indien 2020 ». Les volontaires en poste avant le 1er novembre sont autorisés à concourir et chacun doit livrer une séquence vidéo de dix minutes au maximum pour parler de son engagement volontaire et de son expérience dans le pays d’accueil. Les deux meilleures présentations seront récompensées et un prix spécial du jury ou prix « coup de cœur » sera décerné. Travaillant en entreprise ou en administration, chaque volontaire dispose d’une année pour s’immerger soit dans les services diplomatiques français soit dans les entreprises françaises. Le Grand Prix VIE/VIA est l’occasion de faire connaître le côté particulier, instructif et enrichissant de l’expérience vécue en tant que volontaire dans un pays d’accueil dans la région océan Indien. « Les CCEF ou conseillers du commerce extérieur de la France accompagnent les volontaires dans les pays où ils entrent en activité. Classés soit VIE ou Volontaire International en Entreprise, soit VIA ou Volontaire International en Administration, les volontaires répondent à des profils souhaités par des entreprises ou administrations françaises », selon Vincent Fleury, dirigeant d’une entreprise de distribution de gaz à Madagascar et accessoirement conseiller du commerce extérieur de la France. Étapes Cinquante-et-un volontaires français sont actuellement à Madagascar et contribuent au dynamisme des échanges avec la France. L’an dernier, les lauréats du Grand Prix VIE/ VIA ont été des volontaires en poste à Madagascar. Dans le cadre de la compétition, les vidéos sont à déposer au plus tard le 23 mars de l’année prochaine , pour être visionnées par la suite par un jury composé des représentants des services économiques des Ambassades de France, des CCEF, et des agents de Business France, la structure chargée d’accompagner les opérateurs économiques français à l’étranger. Entre le 24 mars et le 10 avril, les délibérations et les notations auront lieu pour enfin aboutir à la remise officielle des prix en avril. La clarté et la qualité de la présentation dans la vidéo soumise au concours sont déterminantes et les compétiteurs doivent également fournir une rédaction sur une page se rapportant à la mission que l’on s’assigne en tant que VIE ou VIA. « 90 % des engagements volontaires conduisent à l’embauche », selon l’ambassadeur de France, Christophe Bouchard. En présence de la ministre de l’Industrie, du commerce et de l’artisanat, Lantosoa Rakotomalala, le lancement du « Grand Prix VIE/ VIA Océan Indien 2020 » a réuni les volontaires en poste ainsi que les dirigeants d’entreprise françaises à Madagascar. « Une contribution au renforcement des liens historiques entre la France et les îles de l’océan Indien » justifie l’engagement d’une volontaire interrogée sur son choix par rapport à Madagascar comme lieu de destination.