Trente-deux personnes ont été victimes d’intoxication alimentaire à Antanetibe Anativolo, du district d’Anjozorobe, lundi. Les autorités ont fermé une gargote. PANIQUE dans la commune rurale d’Antanetibe Anativolo, à Anjozorobe, lundi, jour du marché local. Une intoxication alimentaire a fait trente-deux victimes. Ce jour-là, des clients ont afflué à une gargote pour manger du « composé ». L’un après l’autre, ils ont eu la diarrhée. Certains ont vomi, d’autres se sont progressivement affaiblis, selon divers témoignages. Les patients ont été emmenés et répartis dans trois centres de santé de base (CSB II ), à Belanitra, à Antanetibe et à Androvakely. Les hôpitaux moins spacieux ont été débordés. Une équipe médicale venant d’Anjozorobe a renforcé celles déjà sur place. Aux dernières nouvelles, les patients sont en voie de guérison. « Certains ont déjà pu regagner leur foyer après les soins », confie une source avisée. Enquête Les médecins ont procédé au contrôle des nourritures vendues par le gargotier pour identifier l’origine de l’intoxication. Des analyses complémentaires sont aussi prévues. « Les hôteliers et cuisiniers ont intérêt à bien faire attention face au pouvoir pathogène des bactéries, surtout qu’on est en milieu rural. Outre le manque d’hygiène, les sauces froides, la mayonnaise et l’huile utilisées doivent toujours être vérifiées », explique un membre de l’équipe médicale. Les autorités et la gendarmerie ont pris des mesures. Ils ont rejoint la gargote, hier, pour la fermer provisoirement. Le propriétaire fera certainement l’objet d’une ouverture d’enquête. D’après les informations recueillies, c’est la première fois qu’un tel drame s’est produit dans la commune. « C’est l’insécurité qui prédomine chez nous. Heureusement que l’intoxication n’a occasionné aucune conséquence désastreuse. » rapporte un notable.
Trente-deux personnes ont été victimes d’intoxication alimentaire à Antanetibe Anativolo, du district d’Anjozorobe, lundi. Les autorités ont fermé une gargote. PANIQUE dans la commune rurale d’Antanetibe Anativolo, à Anjozorobe, lundi, jour du marché local. Une intoxication alimentaire a fait trente-deux victimes. Ce jour-là, des clients ont afflué à une gargote pour manger du « composé ». L’un après l’autre, ils ont eu la diarrhée. Certains ont vomi, d’autres se sont progressivement affaiblis, selon divers témoignages. Les patients ont été emmenés et répartis dans trois centres de santé de base (CSB II ), à Belanitra, à Antanetibe et à Androvakely. Les hôpitaux moins spacieux ont été débordés. Une équipe médicale venant d’Anjozorobe a renforcé celles déjà sur place. Aux dernières nouvelles, les patients sont en voie de guérison. « Certains ont déjà pu regagner leur foyer après les soins », confie une source avisée. Enquête Les médecins ont procédé au contrôle des nourritures vendues par le gargotier pour identifier l’origine de l’intoxication. Des analyses complémentaires sont aussi prévues. « Les hôteliers et cuisiniers ont intérêt à bien faire attention face au pouvoir pathogène des bactéries, surtout qu’on est en milieu rural. Outre le manque d’hygiène, les sauces froides, la mayonnaise et l’huile utilisées doivent toujours être vérifiées », explique un membre de l’équipe médicale. Les autorités et la gendarmerie ont pris des mesures. Ils ont rejoint la gargote, hier, pour la fermer provisoirement. Le propriétaire fera certainement l’objet d’une ouverture d’enquête. D’après les informations recueillies, c’est la première fois qu’un tel drame s’est produit dans la commune. « C’est l’insécurité qui prédomine chez nous. Heureusement que l’intoxication n’a occasionné aucune conséquence désastreuse. » rapporte un notable.