Ces derniers temps, les feux ont réduit en cendres des milliers d’hectares de forêt. Au moins six aires protégées ont été touchées par les feux, depuis le mois de septembre, selon Madagascar National Park (MNP). Le parc national de Zombitse-Vohibasia, le parc national d’Ankarafantsika, celui de la baie de Baly, celui de Kirindy Mitea, la réserve naturelle de Tsaratanàna, la réserve spéciale Andranomena ont été touchés par les feux, ces derniers temps. Le parc national de la baie de Baly fût le plus touché avec plus de 8 000 hectares de forêts parties en fumée. Hier, les feux continuaient à ravager certaines de ces aires protégées, notamment, la réserve naturelle de Tsaratanàna et le parc national de Zombitse-Vohibasia. La réserve naturelle de Tsaratanàna brûle depuis la fin du mois de septembre. Des villageois, des forces de l’ordre et des agents forestiers sont encore en pleine lutte pour éteindre les feux. Leur tâche n’est pas facile, avec l’insuffisance des moyens. Les incendies de forêt sont, souvent, de la responsabilité humaine. Des paysans mettent le feu pour renouveler le pâturage, ou pour cultiver sur brûlis. Les feux ne sont pas souvent maîtrisés et se propagent rapidement. Surtout que la végétation s’enflamme facilement, en cette période sèche. MNP parle, également, de feu criminel. «Malgré les pare-feux installés près des parcs, les feux arrivent encore à toucher la forêt», regrette une source auprès du MNP.
Ces derniers temps, les feux ont réduit en cendres des milliers d’hectares de forêt. Au moins six aires protégées ont été touchées par les feux, depuis le mois de septembre, selon Madagascar National Park (MNP). Le parc national de Zombitse-Vohibasia, le parc national d’Ankarafantsika, celui de la baie de Baly, celui de Kirindy Mitea, la réserve naturelle de Tsaratanàna, la réserve spéciale Andranomena ont été touchés par les feux, ces derniers temps. Le parc national de la baie de Baly fût le plus touché avec plus de 8 000 hectares de forêts parties en fumée. Hier, les feux continuaient à ravager certaines de ces aires protégées, notamment, la réserve naturelle de Tsaratanàna et le parc national de Zombitse-Vohibasia. La réserve naturelle de Tsaratanàna brûle depuis la fin du mois de septembre. Des villageois, des forces de l’ordre et des agents forestiers sont encore en pleine lutte pour éteindre les feux. Leur tâche n’est pas facile, avec l’insuffisance des moyens. Les incendies de forêt sont, souvent, de la responsabilité humaine. Des paysans mettent le feu pour renouveler le pâturage, ou pour cultiver sur brûlis. Les feux ne sont pas souvent maîtrisés et se propagent rapidement. Surtout que la végétation s’enflamme facilement, en cette période sèche. MNP parle, également, de feu criminel. «Malgré les pare-feux installés près des parcs, les feux arrivent encore à toucher la forêt», regrette une source auprès du MNP.