Le service du mobile banking entre dans une nouvelle étape. Désormais, les usagers de ce service financier n’auront plus de souci à effectuer un transfert vers d’autres opérateurs. Les principaux responsables des trois services de mobile banking à Madagascar ont annoncé l’interopérabilité de ce service entre Mvola, Orange Money et Airtel Money hier. « Le transfert d’argent, envoie ou réception, est possible entre les trois opérateurs à Madagascar », a annoncé Sylvain Chevillard, directeur général par intérim de Orange money hier à Ankorondrano. Depuis son lancement en mai 2010, le nombre des usagers de ce service de transfert d’argent ne cesse d’augmenter. « Actuellement, le pays compte 4 640 000 abonnés au mobile banking et plus de 24 000 de points de transaction », a fait savoir Seheno Ranaivoson, secrétaire général de la commission de supervision bancaire et financière (CSBF). Pour les opérateurs, le lancement de ce service entre dans leur politique de « cash less » ou de laisser l’utilisation des cash au profit des monnaies électroniques. Mais, à en croire ces chiffres, ils sont encore loin du compte. L.R.
Le service du mobile banking entre dans une nouvelle étape. Désormais, les usagers de ce service financier n’auront plus de souci à effectuer un transfert vers d’autres opérateurs. Les principaux responsables des trois services de mobile banking à Madagascar ont annoncé l’interopérabilité de ce service entre Mvola, Orange Money et Airtel Money hier. « Le transfert d’argent, envoie ou réception, est possible entre les trois opérateurs à Madagascar », a annoncé Sylvain Chevillard, directeur général par intérim de Orange money hier à Ankorondrano. Depuis son lancement en mai 2010, le nombre des usagers de ce service de transfert d’argent ne cesse d’augmenter. « Actuellement, le pays compte 4 640 000 abonnés au mobile banking et plus de 24 000 de points de transaction », a fait savoir Seheno Ranaivoson, secrétaire général de la commission de supervision bancaire et financière (CSBF). Pour les opérateurs, le lancement de ce service entre dans leur politique de « cash less » ou de laisser l’utilisation des cash au profit des monnaies électroniques. Mais, à en croire ces chiffres, ils sont encore loin du compte. L.R.