Lutte contre la corruption - Les femmes parlementaires relèvent le défi


La perception de corruption est pointée du doigt à chaque session parlementaire à Tsimbazaza. La perception de la corruption est pointée du doigt à chaque session parlementaire à Tsimbazaza. La question de « mallette » a détérioré la réputation des élus. Les citoyens ont ras-le bol sur l’augmentation du taux de perception de corruption à au sein du parlement à chaque session parlementaire. À l’occasion des prochaines législatives, les femmes candidates ont leur mot à dire quant à la reconquête de la confiance des électeurs. Josiane Ravelonarivo, candidate du parti « Antokom-bahoaka » à Farafangana « En tant que femme fervente, la corruption au sein du parlement est inadmissible. Je ne serai pas un député corrompu si je serai élu. La mauvaise pratique qui a paralysé notre pays ne sera jamais tolérée. Le développement de chaque région est à prioriser. Les candidats élus à Farafangana étaient en majorité des hommes. Cette fois-ci, les femmes devraient succéder à leur place parce que Mada­gascar a ratifié la convention sur la promotion du genre. La présence des femmes dans la gestion de la vie publique est fortement sollicitée. Cela ne veut pas dire que les valeurs et la tradition seront écartées. Les hommes devraient rester en tant que chef de famille mais les femmes devraient placer à la place qu’il faut dans la vie de la Nation ». Anjelica Bavy Michelle, candidate de la plateforme « Isika Rehetra miaraka amin’i Andry Rajoelina » à Fénérive Est. « Je condamne de toute mon âme la pratique de corruption qui a apporté de mauvaise perception à l’égard des élus à Tsimbazaza. Je prioriserai l’intérêt supérieur de la Nation. Ma vision se focalise sur le développement, l’instauration de la sécurité et l’adoption d’une loi qui promet les activités agricoles afin de soutenir les paysans ».  
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