Un responsable de la JIRAMA a réagi face à l’offensive de la Banque mondiale. Solo Andriamanampisoa, président du Conseil d’administration, apporte des coups de projecteurs sur les zones d’ombres. Refus catégorique. « Non la Jirama n’a pas abandonné l’application du système de tarification Optima. Elle est en vigueur depuis le 1er janvier. Mais suite aux directives du Conseil des ministres du 20 janvier, nous avons pris du recul. Une version améliorée de la formule sera applicable à partir du 1er mai » a précisé Solo Andriamanampisoa, président du Conseil d’administration de la Jirama. Il a été estimé un gain de 50 milliards d’ariary mais au final tout a débouché sur une perte de 18 milliards d’ariary. Avec les modes d’emploi révisés, modifiant les calculs pour un compteur à multiples branchements, il est attendu un profit de 32 milliards d’ariary. Un seul « abonné » peut par exemple, alimenter de nombreux autres « clients » avec des tarifs favorables. Dans ces cas de figure, il est difficile de voir un peu plus clair. La Banque mondiale, avec des données détaillées sur des facturations segmentées par catégories de clientèle, arrive à dégager 95 milliards d’ariary d’économie par an pour la Jirama et à soustraire à la caisse de l’État 800 milliards d’ariary de subventions.
Un responsable de la JIRAMA a réagi face à l’offensive de la Banque mondiale. Solo Andriamanampisoa, président du Conseil d’administration, apporte des coups de projecteurs sur les zones d’ombres. Refus catégorique. « Non la Jirama n’a pas abandonné l’application du système de tarification Optima. Elle est en vigueur depuis le 1er janvier. Mais suite aux directives du Conseil des ministres du 20 janvier, nous avons pris du recul. Une version améliorée de la formule sera applicable à partir du 1er mai » a précisé Solo Andriamanampisoa, président du Conseil d’administration de la Jirama. Il a été estimé un gain de 50 milliards d’ariary mais au final tout a débouché sur une perte de 18 milliards d’ariary. Avec les modes d’emploi révisés, modifiant les calculs pour un compteur à multiples branchements, il est attendu un profit de 32 milliards d’ariary. Un seul « abonné » peut par exemple, alimenter de nombreux autres « clients » avec des tarifs favorables. Dans ces cas de figure, il est difficile de voir un peu plus clair. La Banque mondiale, avec des données détaillées sur des facturations segmentées par catégories de clientèle, arrive à dégager 95 milliards d’ariary d’économie par an pour la Jirama et à soustraire à la caisse de l’État 800 milliards d’ariary de subventions.