Dans un communiqué de presse publié sur son compte Twitter, Ahmad a abordé son interprétation de la sentence finale du TAS. Il y apporte des explications à propos des éléments d’accusation. Je resterai un supporter et observateur assidu du football, la passion de ma vie. Voilà la première réaction d’Ahmad, quelques heures après la publication de la sentence finale du Tribunal Arbitral du Sport. Un post mis en ligne sur son compte Twitter, son principal canal de communication dernièrement. Son tweet est accompagné d’un long communiqué de presse. Le président sortant de la Confédération Africaine de Football se penche plus particulièrement sur l’interprétation du TAS concernant les accusations qui pesaient contre lui. Il appuie sur l’absence d’unanimité concernant le financement du pèlerinage des présidents de fédérations nationales à La Mecque sur invitation de l’UAFA : « Les relations de partenariats entre la CAF et ses parties prenantes, en 2017, étaient au point mort. Accepter cette invitation était du devoir de la CAF dans un souci d’unification du football africain. Le fait que le TAS n’ait pas décidé à l’unanimité sur ce point montre qu’il est soumis à l’interprétation de chacun ». Pour rappel, la FIFA avait établi que ce déplacement n’avait « aucun rapport direct avec le football ».
Dans un communiqué de presse publié sur son compte Twitter, Ahmad a abordé son interprétation de la sentence finale du TAS. Il y apporte des explications à propos des éléments d’accusation. Je resterai un supporter et observateur assidu du football, la passion de ma vie. Voilà la première réaction d’Ahmad, quelques heures après la publication de la sentence finale du Tribunal Arbitral du Sport. Un post mis en ligne sur son compte Twitter, son principal canal de communication dernièrement. Son tweet est accompagné d’un long communiqué de presse. Le président sortant de la Confédération Africaine de Football se penche plus particulièrement sur l’interprétation du TAS concernant les accusations qui pesaient contre lui. Il appuie sur l’absence d’unanimité concernant le financement du pèlerinage des présidents de fédérations nationales à La Mecque sur invitation de l’UAFA : « Les relations de partenariats entre la CAF et ses parties prenantes, en 2017, étaient au point mort. Accepter cette invitation était du devoir de la CAF dans un souci d’unification du football africain. Le fait que le TAS n’ait pas décidé à l’unanimité sur ce point montre qu’il est soumis à l’interprétation de chacun ». Pour rappel, la FIFA avait établi que ce déplacement n’avait « aucun rapport direct avec le football ».