Le salaire minimum de 200 000 ariary n’est pas complètement effectif, selon le ministère de la Fonction publique et des lois sociales. Plusieurs entreprises ont fait des efforts pour suivre la loi à la lettre. Certaines sont encore obligées de négocier avec leurs employés. « L’application du salaire minimum de 200 000 ariary pour les travailleurs est devenue une loi. Il est vrai que chaque entreprise n’a pas le même rendement. L’application du salaire minimum augmente la masse salariale de 19%. Des entreprises arrivent à l’appliquer, d’autres pas encore. Certains ont dû négocier auprès des employés et il existe un assouplissement par rapport à tout. En somme, bon nombre d’entreprises appliquent le salaire minimum et d’autres négocient encore. En tant que groupement, nous incitons toujours les entreprises à appliquer la loi », explique Andrianavalo-manana Razafiarison, président du Fivondronan’ny Mpandraharaha eto Madagasikara (FIVMPAMA). Dans le secteur de l’éducation, quelques écoles privées ont déjà augmenté leur frais de scolarité, afin de respecter la hausse salariale de 200 000 ariary pour les enseignants, depuis le début de l’année scolaire. Bon nombre d’écoles n’y arrivent pas encore.
Le salaire minimum de 200 000 ariary n’est pas complètement effectif, selon le ministère de la Fonction publique et des lois sociales. Plusieurs entreprises ont fait des efforts pour suivre la loi à la lettre. Certaines sont encore obligées de négocier avec leurs employés. « L’application du salaire minimum de 200 000 ariary pour les travailleurs est devenue une loi. Il est vrai que chaque entreprise n’a pas le même rendement. L’application du salaire minimum augmente la masse salariale de 19%. Des entreprises arrivent à l’appliquer, d’autres pas encore. Certains ont dû négocier auprès des employés et il existe un assouplissement par rapport à tout. En somme, bon nombre d’entreprises appliquent le salaire minimum et d’autres négocient encore. En tant que groupement, nous incitons toujours les entreprises à appliquer la loi », explique Andrianavalo-manana Razafiarison, président du Fivondronan’ny Mpandraharaha eto Madagasikara (FIVMPAMA). Dans le secteur de l’éducation, quelques écoles privées ont déjà augmenté leur frais de scolarité, afin de respecter la hausse salariale de 200 000 ariary pour les enseignants, depuis le début de l’année scolaire. Bon nombre d’écoles n’y arrivent pas encore.