Les centres d’alphabétisation sont parmi les plus touchés par l’impact du coronavirus. Une aide a été apportée par le ministère de tutelle. Une visite au centre d’alphabétisation Asa Sekoly Avotra Ho an’ny zaza Malagasy (ASAMA), Anosipatrana a été effectuée par la ministre de l’éducation nationale pour marquer la journée mondiale de l’alphabétisation, hier. Le centre a ainsi été doté de manuel scolaire, et de rakibolana afin d’aider les apprenants dans la démarche d’alphabétisation. Le thème choisi pour cette année se focalise sur « L’enseignement et l’apprentissage de l’alphabétisation en période de crise due à la Covid-19 et au-delà ». « Nous savons tous que les enfants ont été les plus vulnérables à l’impact de la crise sanitaire. Il est également à noter que les centres comme celui-ci est considéré comme n’étant pas inclus dans le secteur de l’éducation formelle. Les élèves qui sont pris en charge dans ce centre, sont ceux qui n’ont pas pu accéder à l’école primaire publique», indique Marie Michelle Sahondrarimalala, ministre de l’éducation nationale. C’est lors de son passage sur place, que la ministre a indiqué que le taux d’alphabétisation est encore bas dans le pays. Des efforts doivent être entrepris. « La journée du 8 septembre est la journée dédiée à la journée de l’alphabétisation. Malheureusement, dans notre pays, la pauvreté est liée au problème d’accès à cette alphabétisation. Dans la majeure partie des cas, les personnes vulnérables sont parmi les concernés par ce problème », indique Marie Michelle Sahondrarimalala, ministre de l’éducation nationale. En difficulté Asama, un centre d’alphabétisation qui se situe à Anosipatrana, est en difficulté par rapport à la crise sanitaire. « Nous accueillons près de quatre-vingt-dix enfants. Le centre dispose de trois classes, dont la première est de la classe alpha, une classe dédiée aux enfants de 6 ans qui ne savent pas lire, ni écrire. La seconde classe étant la classe ASAMA, qui est affectée aux enfants les plus vulnérables entre 10 à 18 ans, ils seront préparés aux examens officiels, comme le CEPE. La plupart de ces enfants ont vécu auprès des bacs à ordure, ils seront pris en charges dans ce centre. La dernière classe étant la classe post ASAMA, cette classe étant affecté aux élèves qui ont réussi les examens, mais seront formés initialement. Des formations professionnelles, comme la broderie, ou encore ou la coupe et couture sont délivrées dans cette classe », indique Moril Ravoninoro, responsable au niveau du centre ASAMA Anosipatrana. Dans ce centre, près de quatre-vingt-dix enfants sont accueillis, s’agissant de la classe primaire. « Les enfants de 6 ans et plus reçoivent des cours de remise à niveau. Nous intégrons également la question de genre et la leçon de civisme dans les cours dès la classe de primaire », indique Moril Ravoninoro.
Les centres d’alphabétisation sont parmi les plus touchés par l’impact du coronavirus. Une aide a été apportée par le ministère de tutelle. Une visite au centre d’alphabétisation Asa Sekoly Avotra Ho an’ny zaza Malagasy (ASAMA), Anosipatrana a été effectuée par la ministre de l’éducation nationale pour marquer la journée mondiale de l’alphabétisation, hier. Le centre a ainsi été doté de manuel scolaire, et de rakibolana afin d’aider les apprenants dans la démarche d’alphabétisation. Le thème choisi pour cette année se focalise sur « L’enseignement et l’apprentissage de l’alphabétisation en période de crise due à la Covid-19 et au-delà ». « Nous savons tous que les enfants ont été les plus vulnérables à l’impact de la crise sanitaire. Il est également à noter que les centres comme celui-ci est considéré comme n’étant pas inclus dans le secteur de l’éducation formelle. Les élèves qui sont pris en charge dans ce centre, sont ceux qui n’ont pas pu accéder à l’école primaire publique», indique Marie Michelle Sahondrarimalala, ministre de l’éducation nationale. C’est lors de son passage sur place, que la ministre a indiqué que le taux d’alphabétisation est encore bas dans le pays. Des efforts doivent être entrepris. « La journée du 8 septembre est la journée dédiée à la journée de l’alphabétisation. Malheureusement, dans notre pays, la pauvreté est liée au problème d’accès à cette alphabétisation. Dans la majeure partie des cas, les personnes vulnérables sont parmi les concernés par ce problème », indique Marie Michelle Sahondrarimalala, ministre de l’éducation nationale. En difficulté Asama, un centre d’alphabétisation qui se situe à Anosipatrana, est en difficulté par rapport à la crise sanitaire. « Nous accueillons près de quatre-vingt-dix enfants. Le centre dispose de trois classes, dont la première est de la classe alpha, une classe dédiée aux enfants de 6 ans qui ne savent pas lire, ni écrire. La seconde classe étant la classe ASAMA, qui est affectée aux enfants les plus vulnérables entre 10 à 18 ans, ils seront préparés aux examens officiels, comme le CEPE. La plupart de ces enfants ont vécu auprès des bacs à ordure, ils seront pris en charges dans ce centre. La dernière classe étant la classe post ASAMA, cette classe étant affecté aux élèves qui ont réussi les examens, mais seront formés initialement. Des formations professionnelles, comme la broderie, ou encore ou la coupe et couture sont délivrées dans cette classe », indique Moril Ravoninoro, responsable au niveau du centre ASAMA Anosipatrana. Dans ce centre, près de quatre-vingt-dix enfants sont accueillis, s’agissant de la classe primaire. « Les enfants de 6 ans et plus reçoivent des cours de remise à niveau. Nous intégrons également la question de genre et la leçon de civisme dans les cours dès la classe de primaire », indique Moril Ravoninoro.