L’affaire sur l’extension de l’aéroport de Fascène à Nosy Be est remise sur le tapis. Joseph Yoland, ancien sénateur et président de la commission Infrastructure au sein du Sénat en 2004, a été placé en détention préventive après son enquête au fond au parquet du tribunal de Première instance de Nosy Be. Ayant comme charges d’inculpation violence et voies de fait et destruction de culture, il a été placé sous mandat de dépôt mardi, puis libéré le lendemain. Joint au téléphone, il a expliqué que « le tribunal a ordonné ma sortie. Je trouve que la poursuite diligentée contre moi est injuste du fait que l’affaire remonte à 2004». Le pouvoir en place en 2004 a procédé à l’extension de l’aéroport de Nosy Be afin d’améliorer la voie aérienne reliant la capitale à l’île aux Parfums. Le fond du problème réside dans un litige foncier. Les riverains de l’aéroport ont été déplacés afin de faciliter la mise en œuvre du projet. Des contestations et des résistances ont été observées chez certains habitants, ce qui a conduit l’affaire en justice. Joseph Yoland a été impliqué par la plainte déposée par les habitants contre lui.
L’affaire sur l’extension de l’aéroport de Fascène à Nosy Be est remise sur le tapis. Joseph Yoland, ancien sénateur et président de la commission Infrastructure au sein du Sénat en 2004, a été placé en détention préventive après son enquête au fond au parquet du tribunal de Première instance de Nosy Be. Ayant comme charges d’inculpation violence et voies de fait et destruction de culture, il a été placé sous mandat de dépôt mardi, puis libéré le lendemain. Joint au téléphone, il a expliqué que « le tribunal a ordonné ma sortie. Je trouve que la poursuite diligentée contre moi est injuste du fait que l’affaire remonte à 2004». Le pouvoir en place en 2004 a procédé à l’extension de l’aéroport de Nosy Be afin d’améliorer la voie aérienne reliant la capitale à l’île aux Parfums. Le fond du problème réside dans un litige foncier. Les riverains de l’aéroport ont été déplacés afin de faciliter la mise en œuvre du projet. Des contestations et des résistances ont été observées chez certains habitants, ce qui a conduit l’affaire en justice. Joseph Yoland a été impliqué par la plainte déposée par les habitants contre lui.