L’étau s’est resserré autour d’un chef fokontany et de son épouse. Après le rapt de Rafik Fidahoussen, un opérateur économique français d’origine indienne, kidnappé par une bande de ravisseurs à Analamahitsy dans la soirée du 21 juin, le couple a été appréhendé. Le 30 juin, en début d’après-midi, lorsque la planque de la bande, à Soamanety Ambohidratrimo, a été prise d’assaut par les hommes de la brigade criminelle, il s’est avéré que la villa, où a été séquestrée la victime pendant sa captivité de neuf jours, appartient à un chef fokontany. L’un des ravisseurs a été appréhendé pendant l’opération policière. Un fusil Kalachnikov, chargé de vingt huit munitions a été pris en sa possession. Dimanche, deux autres suspects d’origine indienne, se sont, à leur tour, fait prendre par la police criminelle. Traduits devant le parquet, mercredi, le chef fokontany et son épouse, ont bénéficié d’une mise en liberté provisoire. Les trois autres prévenus directement impliqués, ont été, quant à eux, placés sous mandat de dépôt à la maison de force de Tsiafahy. S.A.
L’étau s’est resserré autour d’un chef fokontany et de son épouse. Après le rapt de Rafik Fidahoussen, un opérateur économique français d’origine indienne, kidnappé par une bande de ravisseurs à Analamahitsy dans la soirée du 21 juin, le couple a été appréhendé. Le 30 juin, en début d’après-midi, lorsque la planque de la bande, à Soamanety Ambohidratrimo, a été prise d’assaut par les hommes de la brigade criminelle, il s’est avéré que la villa, où a été séquestrée la victime pendant sa captivité de neuf jours, appartient à un chef fokontany. L’un des ravisseurs a été appréhendé pendant l’opération policière. Un fusil Kalachnikov, chargé de vingt huit munitions a été pris en sa possession. Dimanche, deux autres suspects d’origine indienne, se sont, à leur tour, fait prendre par la police criminelle. Traduits devant le parquet, mercredi, le chef fokontany et son épouse, ont bénéficié d’une mise en liberté provisoire. Les trois autres prévenus directement impliqués, ont été, quant à eux, placés sous mandat de dépôt à la maison de force de Tsiafahy. S.A.