L’idée fait son chemin. Le bruit rapportant une éventuelle “Transition”, avant l’élection présidentielle se fait de plus en plus insistant. Questionnée sur le sujet, lors de sa conférence de presse, hier, Isabelle Delattre Burger, ambassadrice de la délégation de l’Union européenne (UE), déclare, “si le gouvernement estime à un certain moment que c’est le meilleur choix pour le bien de Madagascar, nous soutiendrons les efforts du gouvernement”. La diplomate européenne affirme toutefois qu’une éventuelle Transition ne figure pas dans l’agenda de l’UE. “Ce n’est pas dans notre agenda. Nous n’avons pas d’agenda caché. Notre agenda est la démocratie”, soutient-elle. Les bruits qui circulent au sujet de cet éventuel “accord politique”, établissent “un système d’entente ou de consensus”, avant la course à la magistrature suprême, chuchotent la présence d’acteurs internationaux aux manettes. “Si le gouvernement et les acteurs politiques qui sont, aujourd’hui, dans l’opposition se mettent d’accord volontairement, pas sous notre pression, ou la pression de quiconque pour une Transition ou un gouvernement d’union nationale. Ce sera le choix souverain du gouvernement et des acteurs politiques avec qui il passera un accord”, martèle l’ambassadrice Delattre Burger.
L’idée fait son chemin. Le bruit rapportant une éventuelle “Transition”, avant l’élection présidentielle se fait de plus en plus insistant. Questionnée sur le sujet, lors de sa conférence de presse, hier, Isabelle Delattre Burger, ambassadrice de la délégation de l’Union européenne (UE), déclare, “si le gouvernement estime à un certain moment que c’est le meilleur choix pour le bien de Madagascar, nous soutiendrons les efforts du gouvernement”. La diplomate européenne affirme toutefois qu’une éventuelle Transition ne figure pas dans l’agenda de l’UE. “Ce n’est pas dans notre agenda. Nous n’avons pas d’agenda caché. Notre agenda est la démocratie”, soutient-elle. Les bruits qui circulent au sujet de cet éventuel “accord politique”, établissent “un système d’entente ou de consensus”, avant la course à la magistrature suprême, chuchotent la présence d’acteurs internationaux aux manettes. “Si le gouvernement et les acteurs politiques qui sont, aujourd’hui, dans l’opposition se mettent d’accord volontairement, pas sous notre pression, ou la pression de quiconque pour une Transition ou un gouvernement d’union nationale. Ce sera le choix souverain du gouvernement et des acteurs politiques avec qui il passera un accord”, martèle l’ambassadrice Delattre Burger.