Retour à la normale du rythme des transporteurs des zones régionales. Il n’y a plus de bousculades ou de longues files d’attente dans les gares routières, hier. Le nombre des passagers qui repartent vers la capitale, dans la région de Vakinankaratra, ceux qui vont rejoindre les villes sur la nationale 7, a diminué. « Nous n’enregistrons qu’une cinquantaine de départs, en ce moment. C’est l’effectif normal journalier des départs que nous enregistrons. Tous les vacanciers sont repartis », indique Tantely Razafimisata, président du comité de gestion de la gare routière à Vatofotsy Antsirabe, hier. Cette baisse d’affluence des passagers qui prennent le départ et de ceux qui arrivent à destination est aussi constatée dans les gares routières de Fasan’ny Karàna à Anosizato et de Maki à Andohatapenaka. « Nous attendons les prochaines fêtes pour revoir cette grande affluence des passagers. », indique un transporteur. À la veille du jour de Noël et de celui du Nouvel An, les gares routières ont été envahies par des personnes qui voulaient rejoindre leurs proches.
Retour à la normale du rythme des transporteurs des zones régionales. Il n’y a plus de bousculades ou de longues files d’attente dans les gares routières, hier. Le nombre des passagers qui repartent vers la capitale, dans la région de Vakinankaratra, ceux qui vont rejoindre les villes sur la nationale 7, a diminué. « Nous n’enregistrons qu’une cinquantaine de départs, en ce moment. C’est l’effectif normal journalier des départs que nous enregistrons. Tous les vacanciers sont repartis », indique Tantely Razafimisata, président du comité de gestion de la gare routière à Vatofotsy Antsirabe, hier. Cette baisse d’affluence des passagers qui prennent le départ et de ceux qui arrivent à destination est aussi constatée dans les gares routières de Fasan’ny Karàna à Anosizato et de Maki à Andohatapenaka. « Nous attendons les prochaines fêtes pour revoir cette grande affluence des passagers. », indique un transporteur. À la veille du jour de Noël et de celui du Nouvel An, les gares routières ont été envahies par des personnes qui voulaient rejoindre leurs proches.