Au bout de huit jours de captivité, dans le district d'Anjozorobe, deux tourtereaux, le jeune homme âgé de 22 ans et la jeune fille, 20 ans, ont retrouvé leurs familles, mardi. Un premier coup de filet a été opéré par la compagnie de gendarmerie d’Imerina centrale. Il s'agit du présumé commanditaire du crime. Il est maintenant en garde à vue à Ankadilalana. Selon les indiscrétions, la rivalité entre les parents des jeunes amants serait à l'origine de ce double rapt. Ils sont tous des collecteurs de produits locaux, indique-t-on. Le 29 août, vers 21 heures, des dahalo armés ont kidnappé leurs cibles à Vohitsara, commune d'Ambohibary Vohilena. Ils auraient tiré six coups de feu pendant leur forfait. Ils ont réclamé une somme faramineuse allant de cinquante à cent cinquante millions ariary contre la libération de leurs prisonniers. Ils ont même menacé de les tuer s’ils ne recevaient pas le pactole. Sans tarder, les gendarmes se sont divisés en deux équipes. La première a effectué la filature sur place et l'autre a étudié les résultats des réquisitions téléphoniques. Ce qui a permis d'arracher les victimes des griffes des criminels. Ils sont sains et saufs.
Au bout de huit jours de captivité, dans le district d'Anjozorobe, deux tourtereaux, le jeune homme âgé de 22 ans et la jeune fille, 20 ans, ont retrouvé leurs familles, mardi. Un premier coup de filet a été opéré par la compagnie de gendarmerie d’Imerina centrale. Il s'agit du présumé commanditaire du crime. Il est maintenant en garde à vue à Ankadilalana. Selon les indiscrétions, la rivalité entre les parents des jeunes amants serait à l'origine de ce double rapt. Ils sont tous des collecteurs de produits locaux, indique-t-on. Le 29 août, vers 21 heures, des dahalo armés ont kidnappé leurs cibles à Vohitsara, commune d'Ambohibary Vohilena. Ils auraient tiré six coups de feu pendant leur forfait. Ils ont réclamé une somme faramineuse allant de cinquante à cent cinquante millions ariary contre la libération de leurs prisonniers. Ils ont même menacé de les tuer s’ils ne recevaient pas le pactole. Sans tarder, les gendarmes se sont divisés en deux équipes. La première a effectué la filature sur place et l'autre a étudié les résultats des réquisitions téléphoniques. Ce qui a permis d'arracher les victimes des griffes des criminels. Ils sont sains et saufs.