Blessé par balles dans une fusillade contre un gang, le commandant de brigade de Befandriana Nord s’est éteint sur son lit d’hôpital au CENHSOA, hier. Décès poignant du commandant de brigade (CB) de Befandriana Nord, un gendarme principal de classe exceptionnel, au bout de neuf jours et neuf nuits sur son lit d’hôpital, au centre hospitalier Soavinandriana (CENHSOA). C’est avec les larmes aux yeux que la Gendarmerie nationale a fait part de son décès, hier. Ce CB a rendu l’âme à 12h 30, malgré tous les soins et efforts déployés par les médecins pour tenter de le sauver. Blessé par balles lors d’une intervention sur un hold-up, faisant victime un opérateur chinois, le 29 juillet, à 2h du matin, il a dû être récupéré sur place en voiture avant d’être héliporté jusqu’à Antananarivo. Le maire de Belalona, propriétaire du logement loué par le Chinois, a, lui aussi, été frappé par les projectiles au plus fort de l’échange de tirs. Cet édile a été évacué avec le CB vers le CENHSOA, mais a succombé le 1 juillet. Son corps vient de quitter la capitale vers sa région d’origine, avant-hier. Une semaine après, la disparition du commandant de brigade a été déplorée. Il a précisément été touché au ventre, à la poitrine et à la cuisse. Abattu Ces morts violentes ont laissé derrière elles des gendarmes endeuillés face à une bataille gigantesque à livrer, celle de retrouver les quatre brigands en fuite. Selon un coauteur de ces fugitifs déjà entre les mains de la compagnie de Mandritsara, ils étaient six à participer à ce vol à main armée. L’un d’eux a été abattu pendant la fusillade. Aux nouvelles du front, les quatre fuyards ont déjà été identifiés et seront chassés tôt ou tard. « Le seul jour sur cent qui nous appartient sera sûrement amer pour eux », prévient la Gendarmerie. L’enquête se fait comme il se doit, selon d’autres précisions. Une somme d’un montant de 2 197 000 ariary a été saisie sur le captif qui a été piégé lundi dernier à 23h 30. « C’était sa part du butin s’élevant à soixante millions d’ariary. Leur cible, le Chinois, était sain et sauf grâce à l’intervention rapide du CB et son collègue », explique un enquêteur.
Blessé par balles dans une fusillade contre un gang, le commandant de brigade de Befandriana Nord s’est éteint sur son lit d’hôpital au CENHSOA, hier. Décès poignant du commandant de brigade (CB) de Befandriana Nord, un gendarme principal de classe exceptionnel, au bout de neuf jours et neuf nuits sur son lit d’hôpital, au centre hospitalier Soavinandriana (CENHSOA). C’est avec les larmes aux yeux que la Gendarmerie nationale a fait part de son décès, hier. Ce CB a rendu l’âme à 12h 30, malgré tous les soins et efforts déployés par les médecins pour tenter de le sauver. Blessé par balles lors d’une intervention sur un hold-up, faisant victime un opérateur chinois, le 29 juillet, à 2h du matin, il a dû être récupéré sur place en voiture avant d’être héliporté jusqu’à Antananarivo. Le maire de Belalona, propriétaire du logement loué par le Chinois, a, lui aussi, été frappé par les projectiles au plus fort de l’échange de tirs. Cet édile a été évacué avec le CB vers le CENHSOA, mais a succombé le 1 juillet. Son corps vient de quitter la capitale vers sa région d’origine, avant-hier. Une semaine après, la disparition du commandant de brigade a été déplorée. Il a précisément été touché au ventre, à la poitrine et à la cuisse. Abattu Ces morts violentes ont laissé derrière elles des gendarmes endeuillés face à une bataille gigantesque à livrer, celle de retrouver les quatre brigands en fuite. Selon un coauteur de ces fugitifs déjà entre les mains de la compagnie de Mandritsara, ils étaient six à participer à ce vol à main armée. L’un d’eux a été abattu pendant la fusillade. Aux nouvelles du front, les quatre fuyards ont déjà été identifiés et seront chassés tôt ou tard. « Le seul jour sur cent qui nous appartient sera sûrement amer pour eux », prévient la Gendarmerie. L’enquête se fait comme il se doit, selon d’autres précisions. Une somme d’un montant de 2 197 000 ariary a été saisie sur le captif qui a été piégé lundi dernier à 23h 30. « C’était sa part du butin s’élevant à soixante millions d’ariary. Leur cible, le Chinois, était sain et sauf grâce à l’intervention rapide du CB et son collègue », explique un enquêteur.