Viol d'une collégienne - Un enseignant abuse de son élève


Agée de quatorze ans, une adolescente scolarisée dans un CEG a été violée. L’un de ses enseignants a promis cinq millions d’ariary à la famille pour étouffer l’affaire. Un acte ignoble à fendre le cœur. Un abus sexuel contre une mineure suscite l’émoi à Sambava. Une adolescente de quatorze ans, scolarisée dans un Collège d’Enseignement Général (CEG) en a fait les frais. Rongés par l’inquiétude lorsque leur fille a manifesté des signes préoccupants, les parents de la victime l’ont soumise à des questions. Craignant pour sa santé, la collégienne s’est confiée à ces derniers pour leur donner une version des faits qui fait froid dans le dos. La jeune fille sous le choc a indiqué à sa famille que l’auteur de l’agression sexuelle n’était autre que l’un de ses enseignants. L’étau s’est du coup resserré autour de celui-ci lorsque le pot-aux-roses a été découvert. Emporté par la panique, l’enseignant de collège mouillé dans cette affaire a répondu de ses actes devant les parents de la victime. De source auprès d’une proche de la famille, celui-ci aurait reconnu les faits. De peur de s’attirer la foudre des poursuites judiciaires, il a entamé des pour parlers avec les parents de la victime. Première tranche Ayant réussi à conclure une entente, il a promis la somme de cinq millions d’ariary pour essayer d’effacer son crime. Aux dernières nouvelles, l’individu incriminé aurait déjà versé deux millions d’ariary en numéraires aux parents de la collégienne. Le paiement des trois millions d’ariary restants n’a pas encore été en revanche effectué jusqu’à ce jour. Néanmoins, l’ accord conclu entre les deux parties semble avoir pour l’instant suffi à étouffer l’affaire. Selon les informations communiquées, l’enseignant cloué au pilori pour viol de mineure ne fait pour l’instant l’objet d’aucune plainte ou d’une quelconque poursuite pénale. L’adolescente victime de violence sexuelle habite à Antsakoampito Andrembona avec sa famille. Les informations recueillies révèlent que les faits remontent au samedi 27 juin. Le lendemain de l’acte, les parents de la jeune fille ont constaté le viol lorsque celle-ci a saigné. Ensuite, tout est allé très vite. Après que l’entente a été conclue, l’enseignant incriminé a versé à la famille de la victime la première tranche du montant convenu, dès le surlendemain des pourparlers.
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