Pari gagné. Le processus démocratique à Madagascar s’est bien établi, une fois les élections présidentielles finies dans le calme, d’après les remarques d’Abdoulaye Bathily, spécialement envoyé à Madagascar par le secrétaire général des Nations Unies. Foulant le sol malgache dès le début des instabilités, exactement il y a un an, Abdoulaye Bathily a fait cinq fois le voyage à Madagascar. Puisque qu’il était nommément appointé par Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, Abdoulaye Bathily s’est toujours trouvé au devant de la scène, parlant au nom de la communauté internationale, face à la presse. « Il faut avancer vers la stabilité dans le respect des institutions et de leurs décisions car il n’y a qu’un seul siège pour un président et il ne peut jamais y avoir deux présidents », a-t-il martelé ouvertement à l’hôtel Carlton sans mâcher les mots le 21 décembre 2018, journée de rapport de toutes les missions internationales d’observation électorale à Madagascar Il y a quatre jours, cet envoyé spécial des Nations Unies s’est prononcé sur une chaîne d’information étrangère. Il a tenu à évoquer le début d’un nouveau contexte vu que « Madagascar a tourné la page de l’instabilité politique ». Revenant sur les événements ayant conduit à l’élection présidentielle anticipée du 7 novembre 2018, Abdoulaye Bathily a remarqué l’exemplarité de la démission du président-candidat Hery Rajaonarimampianina, de l’œuvre jurisprudentielle de la Haute Cour Constitutionnelle, du fair-play des protagonistes après l’annonce des résultats définitifs du scrutin. Déjà lors de son intervention à l’Université d’Antananarivo à la fin de l’année 2018, Abdoulaye Bathily, professeur, enseignant-chercheur, a toujours appelé au calme à Madagascar afin de faire avancer le processus démocratique.
Pari gagné. Le processus démocratique à Madagascar s’est bien établi, une fois les élections présidentielles finies dans le calme, d’après les remarques d’Abdoulaye Bathily, spécialement envoyé à Madagascar par le secrétaire général des Nations Unies. Foulant le sol malgache dès le début des instabilités, exactement il y a un an, Abdoulaye Bathily a fait cinq fois le voyage à Madagascar. Puisque qu’il était nommément appointé par Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, Abdoulaye Bathily s’est toujours trouvé au devant de la scène, parlant au nom de la communauté internationale, face à la presse. « Il faut avancer vers la stabilité dans le respect des institutions et de leurs décisions car il n’y a qu’un seul siège pour un président et il ne peut jamais y avoir deux présidents », a-t-il martelé ouvertement à l’hôtel Carlton sans mâcher les mots le 21 décembre 2018, journée de rapport de toutes les missions internationales d’observation électorale à Madagascar Il y a quatre jours, cet envoyé spécial des Nations Unies s’est prononcé sur une chaîne d’information étrangère. Il a tenu à évoquer le début d’un nouveau contexte vu que « Madagascar a tourné la page de l’instabilité politique ». Revenant sur les événements ayant conduit à l’élection présidentielle anticipée du 7 novembre 2018, Abdoulaye Bathily a remarqué l’exemplarité de la démission du président-candidat Hery Rajaonarimampianina, de l’œuvre jurisprudentielle de la Haute Cour Constitutionnelle, du fair-play des protagonistes après l’annonce des résultats définitifs du scrutin. Déjà lors de son intervention à l’Université d’Antananarivo à la fin de l’année 2018, Abdoulaye Bathily, professeur, enseignant-chercheur, a toujours appelé au calme à Madagascar afin de faire avancer le processus démocratique.